dimanche, novembre 24, 2024 19:49

Archive for the ‘L’ACTU de la MARE’ Category

Il y a quelque chose de pourri dans le royaume de Danemark

Lundi, mai 2nd, 2011

Passablement contrarié par le rapide remariage de sa mère avec Claudius, le frère de son défunt père - « Economie ! Economie ! Horatio ! Les viandes cuites pour les funérailles ont été servies froides au festin des noces. J’aurais préféré rencontrer mon pire ennemi au ciel, plutôt que de voir pareil jour » – le prince Hamlet voit soudain apparaître le Spectre de ce dernier qui lui balance sans détour que non content de lui avoir piqué sa femme, Claudius lui avait auparavant versé une fiole de liqueur empoisonnée dans le creux de l’oreille, causant sa mort instantanée et lui ravissant par la même le trône du Danemark.

Ce ne sera pas la dernière de ses vilénies : l’immonde Claudius n’en est plus à une ignominie près et les errances d’Hamlet, alors qu’il s’ingénie à démasquer le mal – « Notre époque est détraquée. Maudite fatalité que je sois né pour la remettre en ordre » – dans le dédale de ses questionnements métaphysiques et existentiels laisseront le temps au fratricide de se vautrer dans ses turpitudes qui ne prendront fin qu’avec le dénouement de cette tragédie.

« Les noires actions, quand toute la terre les couvrirait, se dresseront toujours aux yeux des hommes »

Pauvre Ophélie, pauvre Laerte, jeunes et innocentes victimes collatérales, à la pureté pervertie par un père – Polonius, premier ministre du traître roi - trop suspicieux pour être irréprochable, qui périra lui-même  des vicissitudes dûes à son obséquiosité. Enfin, on ne fait pas d’Hamlet sans casser des oeufs…

Y’en a un paquet qui s’y sont collés à interpréter ce cher Hamlet : de Laurence Olivier à Mel Gibson, en passant par Jude Law, Kenneth Branagh ou Kevin Kline, pour ne citer qu’eux parmi les plus connus.

Même Schwarzie a tenté l’expérience le temps d’une courte parodie dans le Last action hero de John McTiernan (qui - Oh ! troublante coïncidence – était rediffusé ce soir sur une chaine de la TNT !) et quand le Shakespearator s’y met, il ne met pas trois heures à répondre à la question fatale « To be or not to be ? » !


> voir l’extrait

Fan de Shakespeare : Roméo et Juliette, La Mégère apprivoiséeLe Songe d’une nuit d’été… Mais de tous ceux que j’ai pu lire (et relire) jusqu’à présent, Hamlet restera mon préféré…

« Il est important d’y noter qu’un homme peut sourire, sourire, et n’être qu’un scélérat. »

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La plus belle c’est Glenn Close

Lundi, mars 28th, 2011

Fin de la saison 3 de Damages sur Canal +, série où Glenn Close a trouvé un rôle à la hauteur de son incroyable capacité à jouer des personnages à « double tranchant » et où elle nous laisse sur le c… pardon, sur le popotin devant son interprétation de l’avocate Patty Hewes !
A double tranchant : c’était aussi le titre du film qui m’avait fait mémoriser son nom (pourtant à cette époque – 1985 –  j’avais déjà vu Les copains d’abord et Le meilleur…). Elle y endossait déjà un rôle d’avocate qui là, pour le coup, se faisait manipuler par un séduisant Jeff Bridges effrayant de machiavélisme.
Vînrent ensuite Liaison fatale (à voir et revoir en DVD avec la fin alternative SVP et non pas avec la fin grand-guignolesque qu’on nous a servie au ciné et à la télé !) et Les liaisons dangereuses (qui d’autre peut jouer une Mme de Merteuil aussi crédible) qui l’ont consacrée (et malheureusement un peu cataloguée aussi) meilleure « méchante-à-caractère-humain » de sa génération !

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2 mars 2011 – 222 ! Les v’là !!!

Vendredi, mars 4th, 2011

Fait bien chaud tout-à-coup… Faut-il appeler les pompiers ?
Oh ! Non s’il vous plait ! C’est trop bon ! Le Casino de Paris renaîtra bien des ses cendres quoiqu’il arrive !

Laissez Adam Levine et ses acolytes de Maroon 5 (Maroon 6 par le fait sur scène ce soir, vu qu’ils s’octroient pour l’occasion la présence d’un musicien supplémentaire derrière une ribambelle de claviers) faire monter la température ! D’autant plus qu’on a le droit à bon nombre des titres de leur exceptionnel 1er album « Songs for Jane ». Quelqu’un a-t-il d’ailleurs jamais remercié la fameuse Jane d’avoir plaqué son petit ami, lui permettant ainsi de métamorphoser son désarroi en 12 fabuleuses songs qui ont fait (et qui font encore, la preuve en a été donnée ce mercredi soir) le bonheur de millions de fans de 7 à … (allez, je vais être sympa)… 6O ans ! (Si si, j’y étais, je les ai vus !).

Vibration maximale de plexus solaire sur Tangled, Secret (au milieu duquel vient se glisser une courte reprise de What’s love got to do with it) et Sunday morning sur lequel s’achève cette heure et demi de remontée de jauge d’allégresse !

♥♥♥ Message personnel ♥♥♥
J’ai dû acheter le poster d’Adam en tenue « de », vendu à la sortie pour pouvoir détailler les motifs de son « papier peint » : pas si vilain je dirais, s’il existait un dessus de lit assorti, j’en ferais volontiers usage lors des longues soirées hivernales…

Comment se forger une image de Sexy Boy ?

Commencer traditionnellement en jouant sur la midinette de base
> This love

Puis passer à la génération supérieure
> She will be loved

Nota : je viens de découvrir  les 2 clips précédents en cherchant des liens pour illustrer cet article, il n’a pas besoin de ça pour faire passer le message, ses apparitions sur scène suffisent !
> Sunday Morning
> Secret / Ain’t no sunshine

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Jean Giraud : Transe Forme Heure

Dimanche, février 13th, 2011

Décidemment, c’est toujours des heures de vrai plaisir qu’on passe à la Fondation Cartier !

Jusqu’au 13 mars, c’est Moebius qui accapare l’espace ou devrais-je dire Gir ou Jean Giraud ou… Multiples facettes pour cet auteur de BD toujours sur le fil de la schizophrénie créatrice, qui change de nom comme il change d’univers.

Gir lorsqu’il créé le lieutenant Blueberry qui évolue dans un Far West bien réel.
Moebius lorsqu’il s’immerge dans la science-fiction et laisse libre cours à son imagination débordante. Se profile alors Arzach sur son oiseau-machine, suivi du Major Grubert et son garage hermétique tandis que John Difool se met au service de L’Incal.

Et cette expo est l’occasion de retrouver ses personnages de Stel et Atan, réparateurs hors-normes, dans un superbe court-métrage d’animation en 3D inédit, La planète encore, qui illustre impeccablement le thème mis sous les feux des projecteurs ici : la métamorphose.

Vaisseau intergalactique, cheval, chamanisme : tout est possible pour voyager dans l’univers de cet explorateur de l’espace cosmique et métaphysique.

Univers dans lequel vous avez forcément plongé un jour ou l’autre, même si vous n’avez jamais ouvert une de ses BD, puisque sa collaboration avec le cinéma est quand même relativement impressionnante : Blade Runner, Alien, Abyss, Tron, Le cinquième élément… entre autres…

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Art Danse – 22 janv. au 1er Fév. 2011

Mercredi, février 2nd, 2011

Le festival de danse contemporaine dijonnais vient juste de se terminer et des 7 spectacles que j’ai pu voir cette année, je retiendrai :

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Les 4 belles danseuses d’Ad Astra d’Emmanuelle Vo-Dinh mues par un instinct animal et charnel, sirènes polymorphes évoluant dans un océan-polymère, les yeux rivés vers l’étoile.


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Le lustre d’Encor de Catherine Diverrès,

dont le mouvement perpétuel supervise les allées et venues des personnages baroques et autres éléments en attraction-répulsion qui évoluent, qui commencent, qui recommencent, qui n’en veulent plus puis qui en veulent encore et encore…


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L’apaisant chemin vers l’acceptation de l’absence dans l’Oubli, toucher du bois de Christian Rizzo, les ombres et les trous noirs qui peuplent le vide d’une boite en bois clair qu’il faudra bien un jour fermer pour de bon.


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L’ambiance « Houellebecquienne » du Ô Queens [A body lab] de Michel Schweizer, où la dérision apparente et l’hilarité provoquée par les deux bouledogues anglais lymphatiques faisant office d’observateurs dotés de parole font place en fin de spectacle à un débordement d’énergie de la part de la strip-teaseuse, de la culturiste et de la danseuse classique présentes sur le plateau. Trois femmes, au coeur du sujet traité ici, dont la détermination n’a d’égale que l’intensité de l’émotion qu’elles nous communiquent lors de leur performance finale.

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« Ad Astra »  d’Akselli Gallen-Kallela
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Déjà 2011…

Samedi, janvier 1st, 2011

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Histoire du jour… enfin de la nuit – 24 déc. de l’an 0

Vendredi, décembre 24th, 2010

Dites-moi si je me trompe, mais  c’est bien cette nuit-là qu’Athos, Porthos et Aramis, guidés par Dark Tagnan depuis l’Etoile de la mort, sont allés jusqu’à Tatooine-les-Oies porter leurs présents (dans l’heure à venir) au petit Jedi tout juste né entre l’âne Solo et un Veau (qui rit jamais) tout poilu ?

Ou alors je confonds…

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Ça fait le contrepoids…

Dimanche, décembre 12th, 2010

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… les épinards je vous aime
et les radars
les types en costard
même la sonnerie du réveil…

… moi, quand j’entre dans la maison de Zazie
j’aime ce que j’aime pas.

 

Je vous aime - Zazie

 

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7x7  petites pièces que je visite jour après jour :

Le lundi : le coeur est polygame

Le mardi : les gens qui n’aiment rien c’est qu’on les aime pas

Le mercredi : les mamans ont des soucis aussi

Le jeudi : on est tous des anges pour l’amour dollar et les amazones font du rodéo

Le vendredi : on se quitte pour un non, pour un oui on se marie

Le samedi : raison de plus pour faire une chanson d’amour

Et le dimanche : vue sur Tindfjöll et à propos 
>comment faire un volcan ?

Et le jour J, si tu savais comme je m’en fous…

Le jour J - Zazie

Il en faut peu pour  être heureux, moi c’est tout ce que je sais
> la preuve

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Concerts en novembre…

Dimanche, décembre 5th, 2010

…oreilles heureuses en décembre.

Il y a ceux qu’on écoutait déjà avec plaisir et qui donnent encore plus de bonheur à voir en live.

C’est le cas de KAOLIN, aux accents plus rock cette veille de 11 novembre dans cette salle du Café de la Danse que j’aime beaucoup : démarré avec le morceau que je préfère dans leur nouvel album (« Le monde court toujours »), Guillaume et ses amis ont terminé le concert avec « Partons vite » en nous laissant alors le plaisir de leur susurrer à notre tour des lalala lala lala qui traduisaient l’émotion d’un public sous le charme.

C’est aussi le cas de PUGGY : trois jeunes musiciens fort sympathiques dont les morceaux ont pris des ailes dans les envolées instrumentales qu’ils leur ont insufflées sur la scène dijonnaise de la Vapeur.

EIFFEL me laisse quant à eux toujours un peu frustrée à chaque fois que je les vois… énergie et performance sont là, mais leurs textes avec leur mots qui à eux seuls arrivent à donner du rythme à leurs morceaux sont moins mis en valeur et c’est vraiment un gros manque pour moi…

J’attendais FOALS avec impatience après l’énorme impression qu’ils m’avaient fait en première partie de Snow Patrol il y a quelques mois (voir l’article)… mais fin novembre à l’Elysée-Montmartre, là aussi, je les ai trouvés très en forme dans la performance scénique et l’énergie mais je n’ai pas retrouvé cet effet planant qu’ils m’avaient procuré au printemps (et la voix du chanteur était beaucoup moins cristalline…). En revanche, l’émoi a surgi lors des parenthèses instrumentales des musiciens de la géniale première partie : THE INVISIBLE, encore des anglais très doués, qui m’ont fait le plaisir de me dédicacer l’album que j’étais la première à leur acheter à la sortie du concert !

D’ailleurs de très bonnes première parties en général : COCO ROYAL a bien mis l’ambiance, tout seul avec sa guitare, avant Puggy et EXSONVALDES avait mis sous sa coupe le public de Kaolin !

Et puis au lieu de vous sortir mes photos à deux balles, y’en a un qui a suivi tous ces artistes (enfin pas toujours aux même endroits que moi) avec son appareil et qui a fait beaucoup mieux que moi, ça tombe bien !

Les photos de Samuel Dietz : Puggy     Kaolin     Eiffel    et    Foals

     

Nota : je trouve que le chanteur de Foals à un petit coté Dave Stewart aux débuts d’Eurythmics coté capilliculture !
(Illustration ci-contre pour situer les choses aux moins de 20 ans…)

 

          

Le monde court toujours - Kaolin

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Jacob & The Angel - The Invisible

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Et j’allais oublier EMILY JANE WHITE qui a donné un petit concert privé auquel j’ai été conviée in extremis : découverte totale pour moi et belle surprise    > voir le clip de Dark Undercoat

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Annonce du jour – 23 nov 2010

Mardi, novembre 23rd, 2010

Cherche Bonne Fée créative et compétente pour transformation d’attelage type vente-de-garage-des-soeurs-Javotte-et-Anastasie en genre traineau-de-Père-Noël-performant-et-écologique  (quelques étrons de caribous n’ont jamais fait de mal à personne) permettant le  survol d’une ville actuellement, et pour encore 2 ans, en mode installation-de-tramway subséquemment mal adapté à tout déplacement terrestre.

Options souhaitées (mais non impératives) : 
Prince Consort et Cocher Sexy (Alf pouvant accessoirement être conservé pour ces 2 rôles, ce dernier ayant au moins le mérite de me faire rire et de pallier mes allergies aux chats…)

Bonus apprécié :
Si la dite-fée pouvait également revoir toute ma garde-robe par la même occasion…

♣♣♣ Message personnel ♣♣♣
Euh… J’explique pour ceux qui n’ont pas bien compris le principe : c’est les grenouilles qu’on embrasse, pas les citrouilles…

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Archi & BD

Dimanche, novembre 14th, 2010

Déambulations dans les rues de Paris, Tokyo, New York ou Bruxelles mais aussi plongée au coeur de Gotham City, Metropolis ou autres Cités obscures… Qu’elles soient réelles ou virtuelles, ces villes abritent des héros aux pouvoirs extraordinaires ou à l’esprit aiguisé, des méchants très méchants mais aussi le commun des mortels qui peut un jour sortir de l’ombre de ces buildings et de ces monuments urbains qui sont les vrais protagonistes de cette expo de la Cité de l’Architecture et du Patrimoine.

Ce sont 150 auteurs qui sont représentés ici dans un parcours chronologique qui commence dès le début du XXème Siècle pour s’achever sur des projets actuels.

Non exhaustive (j’y aurais bien vu une petite incursion à Venise…) mais idéale pour une balade en ville bien au chaud et à l’abri par un après-midi du 11 novembre à la météo exécrable !
    

Ça se termine le 28 novembre alors ne traînez pas si vous ne l’avez pas encore vue !

 

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Encore une histoire de nains…

Dimanche, novembre 7th, 2010

…mais rien à voir avec ceux concernés par ce blog qui, vous l’aviez bien compris font référence à ceux cités à la lettre M de mon abécédaire (voir > Mini mâles et gros bonnets), et qui ne sont en aucun cas un manque de respect aux personnes de petite taille dont il est question dans le livre dont je veux vous parler aujourd’hui :

Un enfant de la balle de John IRVING

Les nains dont il est question dans ce roman sont des nains achondroplases qui officient beaucoup dans les cirques en Inde, pays où se déroule en majeure partie l’action du livre et d’où est originaire le Dr Daruwalla, personnage central partageant sa vie entre Toronto et Bombay, la chirurgie orthopédiste et les scénarios de séries policières, et qui va nous permettre de rencontrer un panel de personnages hauts en couleur !

Comme souvent dans l’univers d’Irving, il y a des gens avec leurs convictions (ou leurs non-convictions) bien à eux, des histoires de transsexuels, de mutilés (volontaires ou non…), d’hommes et de femmes en quête  de leurs origines, de leur place géographique ou spirituelle… mais ce qui pourrait devenir glauque ou dramatique prend avec lui des allures drôles et extravagantes !

Il fait partie de ces auteurs qui reviennent régulièrement sur ma table de chevet. Le monde selon Garp me l’a fait découvrir à l’époque où le film du même nom était sorti sur les écrans. Depuis, je me replonge à chaque fois avec délectation dans ses pérégrinations (entre le Nord-Est des Etats-Unis et Vienne le plus souvent) et la découverte de personnages insensés et attachants.

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Chanson du jour – 31 oct. 2010

Dimanche, octobre 31st, 2010

C’est la meilleure nuit de l’année qui vient de se terminer : celle où on peut dormir une heure de plus sans sacrifier sa soirée ni sa grasse matinée !

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Et c’est l’occasion de mettre un petit mot sur Ben Ricour qui est un petit régal de chanson pop folk française à voir et à entendre, petite parenthèse suave et apaisante dans ce monde abrupt :

L’heure d’hiver > voir le clip

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Et j’avais déjà craqué sur son premier titre :

Vivre à même l’amour > voir le clip

(avec l’aide de Ptiluc pour l’illustration : rat extrait de Pacush Blues « L’importance majeure des accords mineurs »)
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Joyeux Anniversaire mon blog !

Dimanche, octobre 24th, 2010

 Little blue ball anniv blog   

Et oui, un an déjà !
Alors pour fêter ça, je lui offre une petite page sur Facebook :

> Tentative d’ABC sur Facebook

A bientôt… Où que vous soyez…

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C’est l’emballage qui donne du prix au cadeau

Dimanche, octobre 24th, 2010

Si cet adage vous parle, allez vous connecter sur  : maskingtape.fr

masking-tape

Papier de soie pour plaisir des autres, papier de riz pour rouleaux (de printemps/été et même automne/hiver) nippons, papier indien pour enveloppes et boites aux pans d’or.

C’est élégant et raffiné pour toute occasion (ou pour décorations diverses).

A force de mettre en ligne les boutiques des autres, il ont fini par créer la leur !
> voir le blog de comcevoir
Bonne chance à toute l’équipe !
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