dimanche, novembre 24, 2024 17:39

Archive for the ‘L’ACTU de la MARE’ Category

Le thème c’est Tim, t’aimes ?

Lundi, mars 19th, 2012

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Tim et maquettes à la cinémathèque.
Macaques et martiens tout en dessins sur la planète.
Timoré tu t’immisces tandis que tournent les ombres et s’ouvrent les tombes…

Les têtes se détachent des corps, les corps se déforment, les formes prennent vie…

Figurines funèbres et monstres émouvants nous mènent de noces en noëls baignés de chants et de sang…

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Les courts métrages de Tim ado confortent notre Tim addiction…
Stain Boy, Toxic Boy, Staring Girl et tous les autres enfants-monstres de La Triste Fin du petit enfant huître jouent aussi dans les courts du grand Tim au son des bandes de son indissociable Danny Elfman.

    

Rappelez-vous de la chose à ne jamais faire à un caniche constipé…

    

Beetlejuice Beetlejuice Beetlejuice !!!     

 
 
 
   

 

 

J’appelle aussi Batman  et Edward et Willy Wonka… et tout le toutim !!!
Allez-y, allez-y c’est jusqu’au 5 août !
     

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The Pin Cushion Queen – Photo de Charlee

 

   
> voir Stainboy – Episode 2

> voir le clip des Killers – Bones

> voir Beetlejuice

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I just say yes

Dimanche, mars 11th, 2012

Neige ou pas neige, la patrouille est toujours la bienvenue.

Au Zénith de Paris mercredi dernier pour leur dernière date européenne,  quel bonheur de retrouver Snow Patrol, ses mélodies anciennes, celles du nouvel album (Fallen empires, où il n’y a une fois encore rien à jeter), les éléments récurrents de ses animations en fond vidéo… Et quelle bonne idée de convier la toute jeune et toute mimi bassiste de Ram’s Pocket Radio, le groupe qui assurait la première partie (encore des irlandais… mais comment font-ils pour qu’il y ait une telle concentration de talent sur une aussi petite étendue…) à venir jouer la choriste, et même chanter le duo de l’album Eyes open, sa voix se mariait à merveille avec les tons chauds de celle de Gary :  > Set the fire to the third bar

Allez,  l’incontournable > Chasing cars

Des (belles) photos et des commentaires (pertinents) supplémentaires sur le site de Nicolas Gaire
> sur Snow Patrol
> sur Ram’s Pocket Radio

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Jour de gabelle

Mardi, février 14th, 2012

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En ce jour béni des fleuristes, chocolatiers… voir des marchands d’électroménager, où le fiancé le plus fidèle comme l’épouse la plus volage (à moins que ce ne soit l’inverse…) s’acquitte de sa taxe annuelle envers sa moitié, je voudrais rendre hommage à tous les gros malins qui réussirent un jour à emballer sur ce slow improbable de 10 CC :

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> I’m not in love


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Quelques mois à l’Amélie

Dimanche, février 5th, 2012

Il y a tout juste une semaine, Jean-Claude Denis recevait le Grand Prix du festival international de la BD à Angoulême.
Conséquence évidente : envie immédiate de descendre cet ouvrage de l’auteur de son étagère et de me replonger pour la nième fois dans le périple salvateur d’Aloys Leclerc.

Plus connu de ses lecteurs sous le nom d’Aloys Clark, cet écrivain en panne d’inspiration écume depuis deux ans les quatre coins de l’hexagone, dispensant un discours auquel il a de plus en plus de mal à croire à des étudiants pourtant admiratifs.
« Ecrivain-vain, Romancier-scié », au bord du grave pétage de plomb, le voici qui tombe tout-à-coup sur Le coucou un petit livre oublié qu’il n’a même jamais ouvert alors que le prend une soudaine envie de faire le ménage dans toutes les « histoires de autres » qui submergent son appartement parisien. Et voici qu’un vague élan de curiosité, qu’un nébuleux embryon d’espoir l’assaillent subitement. Et voilà qu’il se retrouve sur les quais de la gare de Bordeaux Saint Jean, prêt à suivre les traces de cet auteur, de ce « coucou » qui quelques années plus tôt avait décidé de s’immiscer dans la vie des autres et combler les vides qui s’y trouvaient. Curieuse facétie du destin qui va le conduire jusqu’à une petite librairie de Soulac et l’immense plage de l’Amélie, destination finale pour un nouveau départ ?

On se croirait dans un roman (J-C. Denis a d’ailleurs publié un roman éponyme dans la foulée, illustré de dessins en noir et blanc), avec en super bonus  des vignettes magnifiques au cadrage étonnant. Et pour qui connait cette belle région littorale du nord du Médoc, c’est un vrai plaisir de se retrouver dans ces paysages familiers.

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BONNE ANNÉE !!!

Dimanche, janvier 1st, 2012

Dessin des ours extrait d’ANIMAL’Z d’Enki BILAL
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Charade du jour

Dimanche, décembre 18th, 2011

Si vous osez ôter le T, mon premier est le petit nom du plus grand magicien de tous les temps dont on fêtera la naissance pour la 2011ème fois dans une semaine exactement.

Mon deuxième est la deuxième partie du nom de la voiture du plus grand espion à double zéro de la planète.

Mon tout est le chanteur d’un groupe dont je vous rebats les esgourdes (alors que vraisemblablement vous vous en battez l’oeil, voir les …ouilles pour les moins délicats…) mais qui nous a encore démontré mercredi dernier à Bercy que Coldplay détient la suprématie en matière de concert pop, haut en couleur et débordant d’énergie !

à noter que Chris Martin présente d’ailleurs plusieurs points communs avec les références universelles sus-nommées :

- comme le petit gars de Nazareth, il fait de ceux qui viennent l’écouter des illuminés (sauf pour ceux à qui, pas de bol, on a distribué un bracelet à l’entrée du concert qui n’émettra pas le moindre petit clignotement de la soirée… devinez qui faisait partie du lot resté sans loupiote… gggrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !), il transforme les ballons du Prisonnier qui nous effrayaient autrefois en baudruches festives et nous fait toucher le ciel au milieu de myriades de papillons tout en restant les deux pieds sur terre.

- comme James, hormis le fait qu’il soit lui aussi sujet de sa Majesté Babeth la Deuze, il fait craquer toutes les filles sans le faire exprès. 

La preuve en image > Hurts like Heaven – Bercy 14 décembre 2011

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Tout en wagons

Dimanche, décembre 11th, 2011

(Suite de l’article précédent )

S’il faut aller jusqu’au cercle polaire pour rencontrer les ours blancs, vous pourriez être amené à croiser un panda sans avoir besoin d’aller jusqu’en Chine :

Il ne vous reste plus qu’une semaine pour le rencontrer sur la ligne Sarrebourg / Dijon (dommage c’est juste la semaine où arrive le TGV Rhin-Rhône sur le parcours… l’aura pas eu beaucoup le temps d’en profiter…), après  cette période, il vous faudra plutôt fréquenter le TGV Est pour avoir une chance de l’apercevoir !

…suivez les  …ou la fumée des

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Tout en glaçons

Vendredi, décembre 2nd, 2011

(Suite de l’article précédent )

Pour atténuer ma déconvenue face à la triste réalité de la perte précédemment évoquée, j’ai suivi sur Facebook l’escapade canadienne de mon ami Dan, qui à l’instar d’Apoutsiak, a sûrement vécu intensément sa rencontre avec les ours blancs au Manitoba, près de la frontière du Nunavut.

——photo © John Craig
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Hey Tagak !

Tu m’emmènes avec toi
la prochaine fois !
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——photo © Henny Roseboom (mise en scène par Danouche !)

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Mobilis in mobile

Dimanche, octobre 16th, 2011

Envie de profiter du bon air malouin ?

Envie de crucifier votre brushing sur les remparts battus par le vent, d’anéantir vos dernières vélléités de réduction de calories devant une fabuleuse galette de sarrasin, de méditer sur l’immense plage du Sillon quasi déserte pendant les semaines automnales, de vous délasser dans les Thermes Marins, et de vous loger au meilleur rapport qualité/prix : Le Nautilus charmant hôtel intra-muros, vous permettra de passer un séjour sympathique à St Malo. Accueil agréable et petit déjeuner ambiance 20000 lieux sous les mers… avec ou sans Jules !

(Tiens j’ai soudain envie de réécouter Cleet Boris et son Affaire Louis Trio !)

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Mobilis in mobile - L'affaire Louis Trio
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dans la ligne de mire > Le vampire

Dimanche, septembre 11th, 2011

Maxillaires offensives cherchent cou délicat
pour partage d’un fugace mais intense moment de sensualité
et plus (voir l’éternité…) si affinités !

Ils reviennent régulièrement sur le grand et le petit écran alimenter nos peurs et nos fantasmes. Y’en a pour tous les âges, y’en a de tous les styles.
Ma première rencontre avec l’un d’entre eux date de 1979 et fût une cause de trouble de mon sommeil de lycéenne pendant au moins quinze jours : faut dire que Klaus Kinski était déjà impressionnant sans maquillage, alors quand Werner Herzog lui a fait endosser la cape de Nosferatu et qu’il est apparu à l’écran avec ses 2 petites dents pointues et ses yeux cernés de noir… Encore aujourd’hui, j’ai du mal à regarder une simple photo de ce film !
De grands réalisateurs ont apporté leur touche personnelle au genre et  je ne m’amuserai pas à énumérer la pléthore d’acteurs qui ont troqué leurs inoffensives incisives contre une paire de canines acérées. De David Bowie (Les prédateurs) à Ethan Hawke (Daybreakers) en passant par Brad Pitt (Entretien avec un vampire) ou Kiefer Sutherland (Génération perdue), ils se sont métamorphosés en créatures de la nuit inquiétantes et envoûtantes, mais dûssé-je y laisser mon âme, je n’offrirais sûrement aucune résistance à trois d’entre eux :

Le plus troublant sans hésitation :

 

Gary Oldman en comte Dracula dans le film de Coppola.

Il suffi de revoir la scène du cinématographe et du loup blanc…

> voir la scène

 

 

  

 

 

 

Le plus ésotérique (et le moins denté…)

Jude Law dans La sagesse des crocodiles de Leong Po-Chih.

Jude qui, à l’instar de Dexter, achetait alors des bâches plastiques au kilomètre.

> voir la bande annonce

 

 

Le plus gentil (enfin tant qu’il est malheureux…)

David Boreanaz, l’ Angel de Buffy.

Des bohémiens lui ont jeté un sort et rendu son âme (« tiens ça t’apprendra à boire le sang d’une des nôtres ! »).
Depuis, il est rongé par le remords et ne peut plus connaître un seul moment de bonheur absolu sans redescendre dans les tréfonds de l’enfer. Il fini donc par quitter Sunnydale et la pauvre Buffy pour leur épargner à tous deux la cruelle épreuve de vivre un amour strictement platonique.

 


Et le 14 septembre prochain, c’est Colin Farrell qui va s’y coller dans un remake de Fright night (Vampire, vous avez dit vampire). Dans le genre attraction/répulsion, Colin pourrait s’avérer être un bon choix de casting. A suivre…

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Une vie française

Vendredi, septembre 2nd, 2011

Jean-Paul Dubois a le don de juxtaposer les mots d’une manière telle qu’ils déclenchent à chaque fois un phénomène jubilatoire chez moi.

« A ses yeux, Vincent avait toujours été le seul héritier des Blick. Il était le portrait de mon père et, malgré son jeune âge, portait déjà les signes de la rigueur et de la maturité. Pour ma part, je n’étais qu’un surgeon, un reliquat spermatique, un moment d’inattention divine, une erreur d’ovulation. »

Une vie française commence avec l’avènement de la 5ème République par référendum le 28 septembre 1958 qui coïncide avec la mort du frère aîné de Paul Blick, le narrateur alors âgé de 8 ans, et se termine en 2004, soit deux ans après la « réelection » de Jacques Chirac. Chaque septennat (ou quinquennat… ou moins selon les cas) intermédiaire découpant le livre en autant de chapitres.
Ne se posant jamais en donneur de leçon, ni en analyste rébarbatif, en nous relatant un simple détail, Paul arrive à nous faire appréhender l’essentiel des évènements qui traversent sa vie, qu’ils soient d’ordre personnel, familial, politique ou religieux.
C’est un vrai déchirement de le quitter au bout de 400 pages pendant lesquelles il nous a ouvert avec pudeur les recoins de son âme.
C’est drôle, c’est grave, c’est exaltant, c’est triste, c’est touchant, c’est révoltant… C’est la vie…

Voir aussi > Ils le disent mieux que moi

Et puis, je peux même mettre l’article dans l’Actu de la mare puisque je découvre à l’instant que France 2 vient d’en faire une adaptation télé qui sera diffusée le 14 septembre !!!
(Je me méfie des adaptations mais bon il y aura Jacques Gamblin…)

Et puis je n’ai pas lu le bouquin mais son Kennedy et moi au ciné était assez génial !
Voir > Les scènes

Et puis à propos de Jean-Paul Dubois :
Voir aussi > la citation en prologue de ce blog !

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Un C qui veut dire Corto

Samedi, juillet 16th, 2011

Fils d’un marin britannique, qui lui a manifestement transmis son flegme, et d’une gitane andalouse célèbre à Malte parmi les soldats de la garnison et les marins de passage, baignant depuis l’enfance dans la magie et le son des guitares, l’attirance de Corto Maltese pour les mers du sud et sa soif de liberté le prédestinait à une vie d’aventure, empreinte d’ésotérisme, et à des rencontres hors du commun.
Toujours prêt à défendre les plus faibles et les démunis face à l’oppresseur ou au méchant de service…

- Pourquoi avez-vous fait ça ? lui demande le vieil homme inconnu qu’il vient de défendre face à une brute tout aussi inconnue.
- Pour dire la vérité, je n’en sais rien. Peut-être suis-je le roi des imbéciles, le dernier exemplaire d’une dynastie complètement éteinte, qui croyait en la générosité !… En l’héroïsme, lui répond notre beau marin, dont l’efficacité dans une bagarre n’a d’égale que la distinction de son allure.

Le voyage imaginaire d’Hugo Pratt présenté à la Pinacothèque jusqu’au 21 août fait la part belle à Corto Maltese bien sûr, en exposant entre autres toutes les planches de La Ballade de la mer salée – première BD dans laquelle il apparaît, ligoté sur un radeau au milieu de l’océan – mais aussi aux femmes, aux militaires, aux indiens, au désert, aux îles et océans et aux villes.
Six thèmes qui reviennent régulièrement dans l’oeuvre d’ Hugo Pratt et qui sont l’occasion pour nous d’admirer des aquarelles et des planches originales de cet auteur reconnaissable entre tous, de part son graphisme et de part ses histoires qui donnent à ses BD des allures de roman.

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à cors et à Chris !!!

Dimanche, juillet 3rd, 2011

J’en ai déjà fait des tonnes sur le chanteur de Coldplay… Je sais !
Mais Chris Martin, ce fût quand même la révélation de l’année 2003 pour moi, quand je l’ai découvert sur la scène du Zénith de Paris où je m’étais rendue sans plus de conviction, appréciant beaucoup les 2 premiers albums du groupe mais ne sachant pas si leur prestation scénique serait à la hauteur de leurs mélodies…
Et là, alors que je n’y croyais plus, raccrochée que j’étais aux icones de mes jeunes années, le messie de la pop m’est apparu ! D’une énergie et d’un charisme troublant… contre toute attente !

Ce week-end, ils étaient au Main Square Festival d’Arras… sans moi… Alors pour me consoler,  j’ai ressorti les vieux albums et les vieilles vidéos…

> Chris à la guitare : God put a smile upon your face – Live 2003

> Chris au piano : Amsterdam – Live 2003

> Chris court le marathon : Fix you – Clip 2005

> Chris à la chasse aux papillons : Lovers in Japan – Live 2008

A noter qu’en plus de Coldplay, il y avait des choses sympathiques encore à Arras cette année : Portishead, Arcade Fire, The Chemical Brothers, Moby, Two Door Cinema Club, Puggy… et j’en passe…

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Ah ! Nancy ! Sa place Stanislas… Ses bergamotes…

Mardi, juin 14th, 2011

… Son CharlElie !!!

« Y’a guère qu’un seul conteur pour cent mille baratineurs
J’ai des crampes dans le cou et les yeux qui me piquent
mais je me souviens… »

Etudiante dans la capitale lorraine à l’époque de ses Pochette surprise et autres Poèmes rock, mes camarades autochtones m’ont rapidement communiqué leur engouement pour le phénomène local.
Artiste sur tous les fronts : musique (albums perso, BO de films…), photographie, peinture… CharlElie Couture a toujours été plus ou moins sur mon chemin pendant toutes ces années.
Et s’il a désormais élu domicile à New York où il s’est, dit-il, reconstruit alors qu’on lui disait qu’il allait s’éclater, il est dernièrement revenu faire un petit tour de France, histoire de nous présenter son Fort rêveur : une quinzaine de nouveaux titres portés par cette voix reconnaissable entre toutes. Il a interprêté nombre d’entre eux ce vendredi 10 juin sur la scène du Casino de Paris où j’ai passé un fort bon moment .


Elliott Murphy l’accompagne sur 58th street mais c’est tout seul au chant et derrière son piano qu’il nous emmène pour sa ballade du mois d’août et dans son avion sans ailes.

Son public a vieilli avec lui, mais reste chaleureux et enthousiaste, et quel plaisir d’y retrouver Tom Novembre, assis quelques rangs derrière moi !

A ranger avec ces autres « souvenirs idiots mais qui donnent un peu de lumière les jours de pluie… »

> son site

> Live au Casino de Paris – Comme un avion sans ailes

> et les voilà les belles photos de Lost-Pixel !

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Concerts de A à Z

Dimanche, mai 22nd, 2011

D’Archive à Zazie, en passant par le point Genesis

Images d’Archive : Grand Rex – 5 avril 2011

> Controlling crowds

L’orchestre symphonique insuffle à leur musique une force supplémentaire qui nous porte vers des cîmes vertigineuses dès le premier morceau. Nous ne redescendrons pas avant l’expiration de la dernière note.
Impression fugace : il me semblerait presque percevoir par moments le fantôme de Supertramp, celui de l’époque de Even in the quietest moments

> The feeling of losing everything + Blood in numbers + To the end

Juste histoire de voir Zazie d’un peu plus près : Olympia – 11 mai 2011

> 3 p’tits tours
> Sur toi
> Zen

Parce-que j’ai trop traîné pour prendre ma place et que je me suis retrouvée trop loin d’elle pour sa première soirée à l’Olympia… Ça a un peu gâché mon plaisir, ce concert demandait un peu plus de proximité… Et puis on voudrait qu’elle les chante toutes alors 2 heures c’est trop court, forcément.

Back to Genesis : Lyon – 12 juillet 2007

Je vois les extraits de leur concert italien diffusés dernièrement sur une chaine de la TNT, et là, j’ai l’impression de me retrouver sur la pelouse de Gerland… Il fait chaud, on est bien, Phil Collins a la forme, Mike Rutherford a juste un peu grisonné et Tony Banks a toujours cet air de garçon de bonne famille appliqué sur ses claviers. Daryl Stuermer et Chester Thompson sont là aussi, comme au bon vieux temps et c’est bon comme au bon vieux temps !

> In the Cage – Medley – Part 1

> In the Cage – Medley – Part 2

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