lundi, mai 29, 2023 03:12

Rattrapage express de février à mai 2023

20 mai 2023

Je me suis un peu laissée déborder j’avoue…

Je voulais pourtant faire cet article sur mon admiration indéfectible pour les danseurs et les chorégraphes inspirés.
Mon seul rapport avec la danse depuis ce fameux épisode Covid 19 datant de l’an dernier avec le beau film de Cédric Klapisch, En corps, racontant la réconfortante reconstruction d’une danseuse blessée (Marion Barbeau) grâce au chorégraphe Hofesh Shechter et ses captivantes créations.
J’ai définitivement renoué avec mes anciennes amours dès le début de cette année en m’extasiant devant mon écran de télé sur Le lac des cygnes revu par Angelin Preljocaj (ben oui, pas pu avoir de place pour le voir en vrai…)

puis avec la Batsheva Dance Company menée par Ohad Naharin (décidemment, le talent de ces danseurs chorégraphes israéliens !) et leur mélancolique mais beau spectacle Momo le 27 mars à l’auditorium de Dijon et c’est au cinéma, dernièrement, que j’ai à nouveau senti ce petit frisson d’émerveillement, avec le film documentaire Dancing Pina de Florian Heinzen-Ziob où des anciens danseurs du Tanztheater de Pina Bausch essayent d’insuffler à leur tour le souffle que cette chorégraphe légendaire leur avait transmis à de jeunes danseurs de formation classique au Semperoper en Allemagne sur le ballet Iphigénie en Tauride et également du côté de Dakar à des danseurs originaires de différents pays africains et ayant des approches différentes de cette discipline sur le toujours fascinant Sacre du printemps.

Je voulais pourtant parler de la nouvelle version de Starmania et de la représentation à laquelle j’ai assisté au Zénith de Dijon le 23 février qui m’a enfin fait découvrir, 40 ans après, l’histoire de cette comédie musicale dont je ne connaissais finalement que les chansons ! Je voulais dire que j’avais été à nouveau applaudir Juliette Armanet le 8 mars, toujours à ce même Zénith, et qu’elle a confirmé tout le bien que je pensais d’elle depuis le festival Vyv de juin dernier (> voir ici), dire aussi que j’avais passé une belle soirée avec Suzanne Vega à l’Ecrin de Talant le 16 mars dans une ambiance intimiste.

Le même Ecrin où  j’ai passé une très bonne soirée ce 4 mai avec le groupe local Melting Potes, qui reprend depuis 20 ans des morceaux inoubliables de rock, soul, variété française dans un spectacle annuel au profit de diverses associations d’aide aux enfants. Cette année c’était près de 40 musiciens, chanteurs, choristes qui ont partagé avec leur public leur beau travail musical et leur sens de l’humour.

La nuit fut courte puisque le lendemain de cette soirée je me levai au petit matin pour prendre mon train, traverser la Manche et passer ce grand week-end du 8 mai à Londres (non je n’y allais pas spécialement pour le couronnement de Charles III mais finalement ce fut fun de se trouver dans cette ambiance de festivités royales !). Dans un souci d’allègement de bagages, j’abandonnai donc pour 4 jours la lecture du bouquin dans lequel j’étais plongée et à propos duquel je voulais également dire quelques mots :
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car si j’ai écouté maintes et maintes fois tous les albums de U2 et que je connais l’engagement de son leader, je ne connaissais pas tous les évènements qui ont jalonnés la vie privée et la vie de militant de Bono. J’ai donc repris ma lecture à mon retour de congés et l’ai terminée ce mercredi soir 17 mai, 4 heures après la naissance de mon petit-fils (j’en reviens pas d’écrire ce mot…), alors que le dernier chapitre se rapporte à la chanson Breathe (c’est le principe, un chapitre = une chanson) et qu’il y parle de son arrivée dans ce monde le 10 mai 1960 :

« J’entends tambouriner à la porte d’un cœur. Qui n’est pas le mien.
C’est celui d’Iris, ma mère, que je suis impatient de rencontrer.
En un sens, je ne pourrais pas être plus proche d’elle. Je la connais déjà. De dedans, mais pas de dehors.
Il va falloir que je quitte son cocon si je veux voir son image de l’extérieur. »

♦♦♦ Mon prochain post ne devrait pas trop tarder, sachant que le prochain évènement auquel je vais assister est prévu ce mardi 23 mai et que je l’attends depuis 13 ans… ça devrait valoir le coup de s’y attarder un peu… à suivre ♦♦♦

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2023 – Année du lapin d’eau…

02 février 2023

… Bon ça sonne moins rock’n'roll que l’année du tigre qu’on vient de quitter mais va falloir faire avec…

Le problème étant surtout que c’est également mon signe astrologique chinois : lapin d’eau… (une espèce de dame du lac version lagomorphe ?… Mmmm… c’est plus valorisant mais je suis pas sûre que ce soit l’idée…) et que dans mon horoscope chinois, 2023 est une année qui n’est vraiment pas propice aux changements… dommage ça devrait être une année charnière vers de nouvelles aventures pour moi dans plusieurs domaines…
Alors il m’est préconisé pour conjurer le mauvais sort de porter des sous-vêtements et des chaussettes rouges (véridique) !

Ça tombe bien, c’est ma couleur de sous-vêtements préférée, surtout depuis ce jour inoubliable de novembre 1986 au palais des sports de Lyon Annie Lennox (mon modèle de l’époque) était apparue sur scène en rouge et noir lors du Revenge Tour d’Eurythmics :
> Would I lie to you ?

♦♦♦ BONNE ANNÉE DU LAPIN D’EAU ♦♦♦

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4 Concerts et 1 Covid – octobre 2022

14 janvier 2023

• 02 octobre 2022 – Tom McRae au Café de la danse – Paris

Il a quitté son Dark Café, d’où il a illuminé quelques unes de nos sombres soirées confinées, et ses « Robins » qu’il nourrit à la main depuis son jardin (> voir son compte Instagram) pour partir en tournée sur les routes d’Europe.
Pas vraiment de nouvel album en solo à présenter mais deux « 45 tours » sortis en 2022 sous son propre label et Lowri Evans, avec laquelle il a enregistré le très bel album Only Skin (leurs voix se marient à merveille) sorti en mai 2021, assurait la première partie et est venue chanter un morceau sur scène avec lui. Que du bonheur encore ce soir là au Café de la danse (> voir post sur ses précédents concerts ici et ici).

> High and lonesome – Evans McRae

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• 15 octobre 2022 – CharlElie Couture à l’Ecrin – Talant

Je ne saurai jamais si le Covid qui, couplé à une méchante grippe, m’a laissée sur le flan pendant 15 jours dès le 4 octobre était un souvenir rapporté de mon escapade parisienne du week-end évoqué ci-dessus, mais le fait est que j’ai beaucoup hésité à me rendre à l’Ecrin ce 15 octobre, encore flageolante sur mes guiboles… Mais la tentation était trop forte, donc j’ai trouvé un chauffeur, pris mon plus beau masque, je me suis placée en bout de rangée… et si je n’avais pas suffisamment d’énergie pour m’investir autant que je l’eus souhaité, c’est fut encore un beau moment passé avec Charlélie, seul sur scène avec son guitariste Karim Attoumane, qui nous a chanté « quelques essentielles » de son répertoire, qui font partie de l’album du même nom. Anciennes chansons revisitées mais dont on ne se lasse pas.
La première partie était assurée par sa fille Yamée, digne fille de son père, avec une voix qui colle parfaitement à ses chansons blues/rock, et qui est revenue également chanter un morceau avec lui.

> voir ici et ici… et … mes anciens posts sur les précédents concerts auxquels j’ai assisté.

> Yamée et CharlElie – Monsters

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• 22 octobre 2022 – November Ultra à La Vapeur – Dijon

Je vous l’avais dit que je ne la louperais pas à Dijon après sa prestation trop touchante à Rock en Seine à la fin de l’été (> voir ici) et j’ai effectivement retrouvé ce que j’espérais : une artiste qui nous parle avec son cœur et le nôtre chavire au son de sa voix qui sait se faire aussi douce que puissante.
Elle a un compte instagram trop chou et elle est pleine d’humour… bref je suis sous le charme !

> Bedroom walls – November Ultra

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• 27 octobre 2022 – Jean-Louis Murat à La Vapeur – Dijon

Il m’avait tellement saoûlée la dernière fois que j’étais allée le voir (>voir ici) que je m’étais promis qu’on ne m’y reprendrait plus… et puis j’ai écouté ses 2 derniers albums Baby love et La vraie vie de Buck John que j’ai adorés d’emblée… et puis je passais tous les jours devant cette affiche… Alors je lui ai donné une dernière chance… et je suis heureuse de l’avoir fait car ce fut une super soirée, notre Jean-Louis était dans un bon jour, il nous a même gratifiés d’un sourire en partant et montré comme un signe de reconnaissance. Ça c’est le Jean-Louis-que-j’aime !
Le bonus : Raoul Vignal en première partie et sa folk mélancolique, belle découverte pour moi.

> Battlefield – Jean Louis Murat

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Humains/Non humains mais vivants…

29 décembre 2022

… dans la même coloc, faite de terres, d’air et de mers.

Je profite des vacances de Noêl pour mettre un peu à jours mes modestes publications, avant d’avoir tout oublié… (syndrôme Dori la dorade, présent depuis bien avant que je sois en âge d’être grand-mère!).

Alors léger flash back : je suis à Lille pour voir Arcade Fire, j’en profite pour passer quelques jours dans cette ville où je me sens plutôt bien, et bonne aubaine, il y a cette expo Les vivants au Tripostal dans la cadre de la programmation Utopia / Lille 3000 jusqu’au 2 octobre.
Reprenant des œuvres exposées dans le cadre de différentes expositions de la Fondation Cartier sur les enjeux écologiques mais aussi celles d’artistes avec lesquels la Fondation n’avait pas encore collaboré, cette expo nous rappelle que tous les vivants de notre planète sont liés les uns aux autres et qu’il n’y a pas de hiérarchie ni de privilèges accordés à l’un ou à l’autre.
Œuvres picturales, sculpturales, sonores ou conceptuelles, elles sont le travail d’artistes issus de tous les recoins (si tant est qu’elle ait des coins) de la Terre, mais un espace particulier est dédié à différents artistes de peuples amérindiens contemporains.

Je retiendrai de ma visite les tableaux envoutants du brésilien Bruno Novelli,

et surtout ceux de Jaider Esbell, artiste et activiste issu de la communauté indigène Macuxi, mort l’année dernière, mais qui nous laisse des œuvres fascinantes dont on a du mal à se détacher une fois notre regard accroché. D’une minutie et d’un détail nous incitant à les admirer au plus près de la toile mais d’une portée incommensurable. (Deux d’entre elles sont visibles au Centre Pompidou).

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Arcade Fire – Zénith de Lille – 11/09/2022

21 octobre 2022

Chacun de leurs albums est une petite merveille à écouter d’une traite du 1er au dernier morceau.

Le dernier en date, WE, sorti au printemps, n’échappe pas à la règle… Que du bonheur ! Et le petit plus, la cerise sur la chantilly sur le dessert en presque fin du CD : la voix de Peter Gabriel qui vient accompagner celle de Régine Chassage sur Unconditional II – Race and Religion !!!

Et ce concert à Lille fut à l’image de celui vécu il y a déjà 8 ans au Zénith de Paris (voir ici) : idéal pour faire le plein d’énergie !

> Age of Anxiety – Rabbit Hole
> Sprawl II

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Rock en Seine – Samedi 27 août 2022

16 septembre 2022

Six ans après ma dernière venue, une seule journée pour moi cette année au domaine de Saint Cloud, mais quelle journée !

Avant d’être à nouveau envoyée sans engin intergalactique dans un espace sidéral et sidérant par Tame Impala (voir aussi précédents articles ici et ), raison principale de ma présence en ces lieux, j’ai découvert le son folk de Lucy Dacus, l’ambiance Jazzy-RnB-HipHoppy distillée par Robert Glasper, la pop française de Malik Djoudi, les débuts prometteurs d’Ysé, les chansons du patrimoine arménien à la sauce rock de Hey Djan. J’ai aussi pu constater que les débordements d’énergie d’Izia ne sont pas atténués par la canicule mais surtout j’ai frissonné pendant une heure en pleine chaleur dès que November Ultra (2ème raison de ma présence) a commencé à chanter… ses échanges avec son public étaient également empreints de sincérité et d’émotion… sûr que je serai à La Vapeur de Dijon le 22 octobre prochain pour essayer de retrouver cette fabuleuse sensation !

Mes a priori – pourtant pas toujours justifiés – sur la musique électro m’ont fait rater The Blaze… le peu que j’ai entendu m’a fait regretter mon parti pris… ça m’apprendra !

November Ultra – Open arms

Tame Impala – Extraits

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Non-pensée du jour – 11 août 2022

11 août 2022

J’ai longtemps pensé que mon animal totem était l’albatros…
Erreur ! Le pug serait finalement plus approprié maintenant que j’arrive à mettre en veille prolongée mes fonctions cognitives !

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Texas Dijon – 12 avril 2022

08 août 2022

C’est en allant voir Elvis, le film flamboyant (comme d’hab) de Baz LUHRMANN sur la vie du King, que je me suis soudain rendue compte que je n’avais toujours rien posté sur la soirée, attendue depuis 2 ans, passée avec Sharleen Spiteri et ses acolytes de Texas qui ont fêté les 30 ans de leur album Southside en l’interprétant dans son intégralité dans une configuration « intimiste » dans la première partie de ce concert.

Quel rapport avec le King ? Et bien pour rappel le clip d’Inner Smile Sharleen nous campait un Elvis tout de cuir vêtu. Tenue qu’elle avait renfilée sur la scène de Bercy lors du superbe concert de 2001 – gravé sur le DVD Texas Paris que je me repasse encore régulièrement – pour reprendre Suspicious mind.

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Pour la suite du spectacle, la belle nous a charmés avec sa voix toujours aussi envoûtante et sa belle énergie en reprenant tous ces tubes qu’on adore et en interprétant également les titres de leur dernier album, Hi, qui confirme que l’on a toujours envie de les voir et les entendre après toutes ces années !

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Et oui la plus belle c’est Sharleen ! C’était la première de ma rubrique Miroir ô miroir Dis-moi

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19 juillet 2022 – Coldplay made our world light up inside…

31 juillet 2022

… and outside puisque le Stade de France s’est à nouveau illuminé pendant 4 soirées grâce à eux en ce mois de juillet 2022 ! (voir déjà en juillet 2017 ici).

Ça va bientôt faire 20 ans que je vais voir tous leurs tours… et je ne sais pas si je m’en lasserai un jour…
J’ai donc dû déjà tout dire sur le sujet… alors que rajouter ?
Qu’ils ont fait des efforts pour réduire leur impact sur le réchauffement climatique, donc moins d’effets de lumière mais ça marche tout aussi bien !
Qu’ils ont chanté plein de vieux titres dans l’ambiance de ce premier concert que j’avais vu d’eux en 2003 au Zénith de Paris… le jour où tout a vraiment commencé entre Chris et moi :-D (voir ici) dont le sublime Sparks
Que Chris Martin a fait des progrès en français (même si Magic sonne mieux dans sa version d’origine, c’était quand même sympa d’entendre le Magi-que de ce soir là !)
Que London Grammar a assuré la première partie et qu’Hannah Reid est venue chanter > Let somebody go
Que Chris nous a foiré la fin de > In my place parce qu’il avait un truc dans l’oeil !
Qu’il nous a fait un plan êtes-vous-prêts-à-sauter-mettez-vos-téléphones-dans-la-poche au moment où ça décolle dans > A sky full of stars… et que du coup c’était encore mieux la 2ème fois ! (y’en a quand même, les gredins, qui n’avaient pas leur smartphone in the pocket !).

Bref, encore un moment exceptionnel,
même sous 40°,
ce soir là à Saint Denis

Photo @stevieraegibbs

Chris Martin, l’antithèse de Liam Gallagher (voir ici), mais ça ne les empêche pas de chanter ensemble :
> Liam + Coldplay – Live for ever (One Love Manchester-2017)

et parce que ça marche bien aussi quand Chris chante Oasis :
> Chris Martin + Ariana Grande – Don’t Look Back In Anger (One Love Manchester-2017)

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God save the mustard – Festival Vyv des 11 et 12 juin 2022

18 juillet 2022

Je ne pouvais pas ne pas y aller à ce festival : quand Thom Yorke vient avec Jonny Greenwood, son comparse de Radiohead avec lequel il vient de fonder un nouveau groupe, The Smile, dans MA ville, je regarde à peine qui sont les autres artistes qui se produiront et je prends mon billet illico !
Et sachant que Massive Attack est aussi à l’affiche, je me dis que quoi qu’il arrive ce sera un week-end exceptionnel à Dijon !!!

… sauf que Massive Attack a annulé sa tournée pour cause de problème de santé d’un de ses musiciens et que le nouveau nom sur l’affiche pour les remplacer est… Liam Gallagher… le frère de l’autre qui m’avait saoulé en 1ère partie de U2 au SDF en 2017 (voir ici), l’affreux Jojo de la brit’pop/rock à l’arrogance insupportable… grosse déception mais bon on fera avec…


Démarrage pour moi dans une atmosphère plutôt nostalgique, avec l’artiste de mon tout premier concert, lorsque j’étais au lycée, auquel j’avais assisté en compagnie de mon père (admirateur de la femme tout autant que de l’artiste je pense ;) ) : Véronique Sanson. Elle est plutôt en forme, heureuse d’être là, avec sa voix reconnaissable parmi toutes, sûr que cette partie du festival rentrerait dans ma chronique C’est avec les vieux singes…
Rien à voir pour la suite avec le groupe Gwendoline, de l’énergie à revendre pour ces jeunes bretons élevés à la bière et à la contestation ! Un son 80′s assumé (on pense à Marquis de Sade… groupe rennais de ces années là…. logique…), leur album Après c’est gobelet ! est plutôt sympa et leur prestation scénique intéressante (bonus : l’un des membres du groupe bouge comme mon neveu de 17 ans quand il part dans ses délires… j’adore !) > Audio rtt – Gwendoline (clip)
C’est M.I.A. qui clôt cette 1ère soirée avec classe et sa musique qui mixe à merveille dance/hip-hop à des sons rappelant ses origines sri lankaises. On a envie de danser… en plus c’est samedi soir… alors dansons !
> Paperplanes – M.I.A.

Pip Millett et son univers soul/RnB pour commencer le dimanche après-midi en douceur  > Hard life – Pip Millett (clip)
(J’ai loupé Flaur, artiste dijonnais… dommage ça avait l’air sympa d’après le dernier morceau que j’ai entendu… j’aurai peut être l’occasion de le revoir sur la région… > Sunflower – Flaur (clip) )
En revanche je n’ai pas loupé Juliette Armanet dont j’aime beaucoup le dernier album Brûler le feu : belle présence sur scène, une fille pleine d’enthousiasme et enthousiasmante > Qu’importe – Juliette Armanet (clip)
Et puis IL est arrivé… dès le premier morceau la magie a de nouveau fonctionné (voir ici, le concert de Radiohead de 2016), cet album de The Smile, A Light For Attracting Attention, qu’ils interprètent ici est assez  dans la veine des dernières productions de Radiohead, je suis toujours aussi fascinée par Thom Yorke… avec son pote Jonny ils alternent les instruments au gré des morceaux, seul Tom Skinner, le 3ème membre du groupe reste exclusivement derrière sa batterie, normal, il le fait tellement bien ! > Skrting on the surface – The Smile