mardi, mars 19, 2024 06:50

Archive for février, 2014

BRMC vs ADL

Vendredi, février 21st, 2014

Passer en l’espace de 24 heures du gros rock qui tâche de Black Rebel Motorcycle Club à la pop délicate de Autour de Lucie, ça c’est bien varier les plaisirs et ne pas s’enfermer dans un communautarisme musical !

C’était les 12 et 13 février dernier, respectivement à la Vapeur de Dijon et au 104 à Paris, et les extraits suivants n’ont pas été filmés ces jours-là et à ces endroits-là mais ça donnait à peu près ça :

> BRMC – Ain’t no easy / Berlin

> ADL – Je reviens

et pour continuer à me faire plaisir, le premier titre de BRMC que j’ai entendu et sur lequel  j’ai tout de suite accroché et Valérie Leulliot en solo avec le titre que lui avait écrit Miossec :

> BRMC – High/Low

> Valérie Leulliot – Mon homme blessé

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Régression en 4 actes – Acte I

Dimanche, février 16th, 2014

Il y a quelque chose de joli au royaume de Danemark…


La petite fille aux allumettes, La petite sirène, Le vilain petit canard, La princesse au petit pois, Le rossignol et l’empereur de Chine et… La Reine des neiges ! Récemment adaptée par Disney au cinéma, c’est avec un grand plaisir que je suis allée en famille voir ce conte porté sur grand écran avec les places gagnées sur la page Facebook de Visitnorway.com (puisque ce sont les paysages norvégiens qui ont inspiré les décors des Studios Disney).

Oui, tous ces contes d’Andersen, si jolis…  mais si tristes le plus souvent ! Du moins, c’est le premier sentiment qui me vient à l’esprit quand j’entends parler de l’auteur danois. Et invariablement, je pense au Livre des bêtes enchantées, recueil aux magnifiques (mais impressionnantes pour une petite fille de 3 ans) illustrations d’Adrienne Ségur que mes parents m’avaient offert alors que je ne savais pas encore lire. Ce livre, qui bien sûr se trouvait dans ce maudit carton de déménagement perdu – voir tout en carton – regroupait des contes de différents auteurs, dont trois contes d’Andersen, et quand ce cher William nous assurait que jamais aventure ne fut plus douloureuse que celle de Juliette et de son Roméo, on voit bien qu’il était né trop tôt pour que sa mère puisse lui lire Les cygnes sauvages ou La petite Poucette dans sa petite enfance !

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♥♥♥ message personnel ♥♥♥
oui maman, je sais, tu trouvais que je ressemblais à Poucette et que c’était de belles histoires que tu aimais me lire le soir, même si tu avais fini par abandonner, désespérée de devoir affronter mes larmes à chaque lecture, mais bon, il faut quand même reconnaître que ces contes prédisposaient à la mélancolie !!!

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