Faute d’être partie à la frontière du Nunavut voir les ours polaires, je suis allée voir Ted au cinéma… et là j’ai gagné un plein de bonne humeur qui m’a aidé à passer le cap de la dure semaine de reprise après mon séjour à bulles breton !
John Bennett a 8 ans. C’est un petit garçon solitaire qui s’intègre difficilement parmi les enfants du voisinage, et quand il fait le voeu à Noël de voir le nounours en peluche que viennent de lui offrir ses parents prendre vie et devenir son ami pour la vie, il n’imagine pas qu’une étoile filante sillonne le ciel au-dessus de lui au même instant et que son rêve va devenir réalité à son réveil !
Passé la surprise initiale et la fulgurante mais fugace notoriété dont Ted va être l’objet dans un premier temps, il va effectivement rester le meilleur ami de John et c’est presque 30 ans plus tard que nous les retrouvons :
colocs inséparables, John présente tous les symptômes de l’adulescent, Ted a la voix de Joey Starr et est devenu un fêtard libidineux… Tout ça commence un peu à taper sur le système de Lori, la petite amie de John depuis 4 ans qui supporte de moins en moins les frasques du compagnon à peluche de son amoureux !
> voir la bande annonce (si vous êtes encore sceptique quant au potentiel d’hilarité du film de Seth MacFarlane).
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Et puis tiens, ça me rappelle une histoire… qui doit à peu près avoir le même âge que John et Ted :
« Me and my Teddy Bear, we have no hair but we don’t care… »