samedi, novembre 23, 2024 02:16

Archive for the ‘IN THE MOOD FOR…’ Category

2 mars 2011 – 222 ! Les v’là !!!

Vendredi, mars 4th, 2011

Fait bien chaud tout-à-coup… Faut-il appeler les pompiers ?
Oh ! Non s’il vous plait ! C’est trop bon ! Le Casino de Paris renaîtra bien des ses cendres quoiqu’il arrive !

Laissez Adam Levine et ses acolytes de Maroon 5 (Maroon 6 par le fait sur scène ce soir, vu qu’ils s’octroient pour l’occasion la présence d’un musicien supplémentaire derrière une ribambelle de claviers) faire monter la température ! D’autant plus qu’on a le droit à bon nombre des titres de leur exceptionnel 1er album « Songs for Jane ». Quelqu’un a-t-il d’ailleurs jamais remercié la fameuse Jane d’avoir plaqué son petit ami, lui permettant ainsi de métamorphoser son désarroi en 12 fabuleuses songs qui ont fait (et qui font encore, la preuve en a été donnée ce mercredi soir) le bonheur de millions de fans de 7 à … (allez, je vais être sympa)… 6O ans ! (Si si, j’y étais, je les ai vus !).

Vibration maximale de plexus solaire sur Tangled, Secret (au milieu duquel vient se glisser une courte reprise de What’s love got to do with it) et Sunday morning sur lequel s’achève cette heure et demi de remontée de jauge d’allégresse !

♥♥♥ Message personnel ♥♥♥
J’ai dû acheter le poster d’Adam en tenue « de », vendu à la sortie pour pouvoir détailler les motifs de son « papier peint » : pas si vilain je dirais, s’il existait un dessus de lit assorti, j’en ferais volontiers usage lors des longues soirées hivernales…

Comment se forger une image de Sexy Boy ?

Commencer traditionnellement en jouant sur la midinette de base
> This love

Puis passer à la génération supérieure
> She will be loved

Nota : je viens de découvrir  les 2 clips précédents en cherchant des liens pour illustrer cet article, il n’a pas besoin de ça pour faire passer le message, ses apparitions sur scène suffisent !
> Sunday Morning
> Secret / Ain’t no sunshine

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Jean Giraud : Transe Forme Heure

Dimanche, février 13th, 2011

Décidemment, c’est toujours des heures de vrai plaisir qu’on passe à la Fondation Cartier !

Jusqu’au 13 mars, c’est Moebius qui accapare l’espace ou devrais-je dire Gir ou Jean Giraud ou… Multiples facettes pour cet auteur de BD toujours sur le fil de la schizophrénie créatrice, qui change de nom comme il change d’univers.

Gir lorsqu’il créé le lieutenant Blueberry qui évolue dans un Far West bien réel.
Moebius lorsqu’il s’immerge dans la science-fiction et laisse libre cours à son imagination débordante. Se profile alors Arzach sur son oiseau-machine, suivi du Major Grubert et son garage hermétique tandis que John Difool se met au service de L’Incal.

Et cette expo est l’occasion de retrouver ses personnages de Stel et Atan, réparateurs hors-normes, dans un superbe court-métrage d’animation en 3D inédit, La planète encore, qui illustre impeccablement le thème mis sous les feux des projecteurs ici : la métamorphose.

Vaisseau intergalactique, cheval, chamanisme : tout est possible pour voyager dans l’univers de cet explorateur de l’espace cosmique et métaphysique.

Univers dans lequel vous avez forcément plongé un jour ou l’autre, même si vous n’avez jamais ouvert une de ses BD, puisque sa collaboration avec le cinéma est quand même relativement impressionnante : Blade Runner, Alien, Abyss, Tron, Le cinquième élément… entre autres…

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Art Danse – 22 janv. au 1er Fév. 2011

Mercredi, février 2nd, 2011

Le festival de danse contemporaine dijonnais vient juste de se terminer et des 7 spectacles que j’ai pu voir cette année, je retiendrai :

-

Les 4 belles danseuses d’Ad Astra d’Emmanuelle Vo-Dinh mues par un instinct animal et charnel, sirènes polymorphes évoluant dans un océan-polymère, les yeux rivés vers l’étoile.


♦♦♦♦♦

Le lustre d’Encor de Catherine Diverrès,

dont le mouvement perpétuel supervise les allées et venues des personnages baroques et autres éléments en attraction-répulsion qui évoluent, qui commencent, qui recommencent, qui n’en veulent plus puis qui en veulent encore et encore…


♦♦♦♦♦

L’apaisant chemin vers l’acceptation de l’absence dans l’Oubli, toucher du bois de Christian Rizzo, les ombres et les trous noirs qui peuplent le vide d’une boite en bois clair qu’il faudra bien un jour fermer pour de bon.


♦♦♦♦♦

L’ambiance « Houellebecquienne » du Ô Queens [A body lab] de Michel Schweizer, où la dérision apparente et l’hilarité provoquée par les deux bouledogues anglais lymphatiques faisant office d’observateurs dotés de parole font place en fin de spectacle à un débordement d’énergie de la part de la strip-teaseuse, de la culturiste et de la danseuse classique présentes sur le plateau. Trois femmes, au coeur du sujet traité ici, dont la détermination n’a d’égale que l’intensité de l’émotion qu’elles nous communiquent lors de leur performance finale.

♦♦♦♦♦


« Ad Astra »  d’Akselli Gallen-Kallela
♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Le Pèse-Nerf

Vendredi, janvier 28th, 2011

C’est cet été, en rangeant les papiers qui trainaient dans une pochette au fond de mon sac que j’ai retrouvé le flyer d’une exposition qui avait eu lieu en 2009 à Beaune. Le tableau présenté sur le carton et le nom de l’artiste m’avaient interpellée. Je n’avais pas pris le temps de m’y rendre mais j’avais gardé les références bien au chaud…

C’est donc plus d’un an et quelques clics sur le web après que j’ai vraiment regretté de ne pas avoir fait le déplacement…
C’est également à ce moment que j’ai découvert que j’avais salué l’artiste en question quasiment tous les matins pendant tout le temps qu’avait duré la scolarité de mes filles à la maternelle puis à la primaire étant donné qu’il y accompagnait son propre rejeton…
Et c’est encore quelques jours plus tard, en parlant incidemment de cette anecdote aux amis avec lesquels j’étais partie planter la tente dans le Jura, que j’ai appris que la copine qui était en train de nous faire griller des chipolatas sur la plancha était sa soeur…

-

Alors avec tout ça, j’espère ne pas rater la prochaine expo qui lui sera consacrée parce-que je voudrais bien  pouvoir les admirer  pour de vrai ses toiles !

> l’expo à la Galerie Titren

> atelier Le Pèse-Nerf

-

-

-

-

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Ça fait le contrepoids…

Dimanche, décembre 12th, 2010

-

-

… les épinards je vous aime
et les radars
les types en costard
même la sonnerie du réveil…

… moi, quand j’entre dans la maison de Zazie
j’aime ce que j’aime pas.

 

Je vous aime - Zazie

 

-

7x7  petites pièces que je visite jour après jour :

Le lundi : le coeur est polygame

Le mardi : les gens qui n’aiment rien c’est qu’on les aime pas

Le mercredi : les mamans ont des soucis aussi

Le jeudi : on est tous des anges pour l’amour dollar et les amazones font du rodéo

Le vendredi : on se quitte pour un non, pour un oui on se marie

Le samedi : raison de plus pour faire une chanson d’amour

Et le dimanche : vue sur Tindfjöll et à propos 
>comment faire un volcan ?

Et le jour J, si tu savais comme je m’en fous…

Le jour J - Zazie

Il en faut peu pour  être heureux, moi c’est tout ce que je sais
> la preuve

-

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Concerts en novembre…

Dimanche, décembre 5th, 2010

…oreilles heureuses en décembre.

Il y a ceux qu’on écoutait déjà avec plaisir et qui donnent encore plus de bonheur à voir en live.

C’est le cas de KAOLIN, aux accents plus rock cette veille de 11 novembre dans cette salle du Café de la Danse que j’aime beaucoup : démarré avec le morceau que je préfère dans leur nouvel album (« Le monde court toujours »), Guillaume et ses amis ont terminé le concert avec « Partons vite » en nous laissant alors le plaisir de leur susurrer à notre tour des lalala lala lala qui traduisaient l’émotion d’un public sous le charme.

C’est aussi le cas de PUGGY : trois jeunes musiciens fort sympathiques dont les morceaux ont pris des ailes dans les envolées instrumentales qu’ils leur ont insufflées sur la scène dijonnaise de la Vapeur.

EIFFEL me laisse quant à eux toujours un peu frustrée à chaque fois que je les vois… énergie et performance sont là, mais leurs textes avec leur mots qui à eux seuls arrivent à donner du rythme à leurs morceaux sont moins mis en valeur et c’est vraiment un gros manque pour moi…

J’attendais FOALS avec impatience après l’énorme impression qu’ils m’avaient fait en première partie de Snow Patrol il y a quelques mois (voir l’article)… mais fin novembre à l’Elysée-Montmartre, là aussi, je les ai trouvés très en forme dans la performance scénique et l’énergie mais je n’ai pas retrouvé cet effet planant qu’ils m’avaient procuré au printemps (et la voix du chanteur était beaucoup moins cristalline…). En revanche, l’émoi a surgi lors des parenthèses instrumentales des musiciens de la géniale première partie : THE INVISIBLE, encore des anglais très doués, qui m’ont fait le plaisir de me dédicacer l’album que j’étais la première à leur acheter à la sortie du concert !

D’ailleurs de très bonnes première parties en général : COCO ROYAL a bien mis l’ambiance, tout seul avec sa guitare, avant Puggy et EXSONVALDES avait mis sous sa coupe le public de Kaolin !

Et puis au lieu de vous sortir mes photos à deux balles, y’en a un qui a suivi tous ces artistes (enfin pas toujours aux même endroits que moi) avec son appareil et qui a fait beaucoup mieux que moi, ça tombe bien !

Les photos de Samuel Dietz : Puggy     Kaolin     Eiffel    et    Foals

     

Nota : je trouve que le chanteur de Foals à un petit coté Dave Stewart aux débuts d’Eurythmics coté capilliculture !
(Illustration ci-contre pour situer les choses aux moins de 20 ans…)

 

          

Le monde court toujours - Kaolin

-

Jacob & The Angel - The Invisible

-

Et j’allais oublier EMILY JANE WHITE qui a donné un petit concert privé auquel j’ai été conviée in extremis : découverte totale pour moi et belle surprise    > voir le clip de Dark Undercoat

-

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Archi & BD

Dimanche, novembre 14th, 2010

Déambulations dans les rues de Paris, Tokyo, New York ou Bruxelles mais aussi plongée au coeur de Gotham City, Metropolis ou autres Cités obscures… Qu’elles soient réelles ou virtuelles, ces villes abritent des héros aux pouvoirs extraordinaires ou à l’esprit aiguisé, des méchants très méchants mais aussi le commun des mortels qui peut un jour sortir de l’ombre de ces buildings et de ces monuments urbains qui sont les vrais protagonistes de cette expo de la Cité de l’Architecture et du Patrimoine.

Ce sont 150 auteurs qui sont représentés ici dans un parcours chronologique qui commence dès le début du XXème Siècle pour s’achever sur des projets actuels.

Non exhaustive (j’y aurais bien vu une petite incursion à Venise…) mais idéale pour une balade en ville bien au chaud et à l’abri par un après-midi du 11 novembre à la météo exécrable !
    

Ça se termine le 28 novembre alors ne traînez pas si vous ne l’avez pas encore vue !

 

-

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Encore une histoire de nains…

Dimanche, novembre 7th, 2010

…mais rien à voir avec ceux concernés par ce blog qui, vous l’aviez bien compris font référence à ceux cités à la lettre M de mon abécédaire (voir > Mini mâles et gros bonnets), et qui ne sont en aucun cas un manque de respect aux personnes de petite taille dont il est question dans le livre dont je veux vous parler aujourd’hui :

Un enfant de la balle de John IRVING

Les nains dont il est question dans ce roman sont des nains achondroplases qui officient beaucoup dans les cirques en Inde, pays où se déroule en majeure partie l’action du livre et d’où est originaire le Dr Daruwalla, personnage central partageant sa vie entre Toronto et Bombay, la chirurgie orthopédiste et les scénarios de séries policières, et qui va nous permettre de rencontrer un panel de personnages hauts en couleur !

Comme souvent dans l’univers d’Irving, il y a des gens avec leurs convictions (ou leurs non-convictions) bien à eux, des histoires de transsexuels, de mutilés (volontaires ou non…), d’hommes et de femmes en quête  de leurs origines, de leur place géographique ou spirituelle… mais ce qui pourrait devenir glauque ou dramatique prend avec lui des allures drôles et extravagantes !

Il fait partie de ces auteurs qui reviennent régulièrement sur ma table de chevet. Le monde selon Garp me l’a fait découvrir à l’époque où le film du même nom était sorti sur les écrans. Depuis, je me replonge à chaque fois avec délectation dans ses pérégrinations (entre le Nord-Est des Etats-Unis et Vienne le plus souvent) et la découverte de personnages insensés et attachants.

-

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Morosité, ton heure a sonné !

Mercredi, octobre 20th, 2010

Tryptique Th

Trois albums tout frais dans mes bagages  lors de ma récente escapade requinquante bretonne. Des californiens, des irlandais et des belges avec une musique légère et réconfortante comme les bulles des bains bouillonnants dans lesquels je me suis immergée ou enveloppante comme les boues d’algues chaudes, dynamisante comme une douche à jet ou délassante comme la chaleur humide du hammam… C’est suivant les morceaux… Enfin judicieux choix, je me félicite !

Runaway - Maroon 5 Under Cover Martyn - Two Door Cinema Club I do - Puggy

Duo Th

 

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

La Cigale – 12 octobre 2010

Vendredi, octobre 15th, 2010

 Tom McRae_12-10-10

Tom McRae nous a fait une petite place sous son parapluie, le temps de nous imprégner de son univers souvent mélancolique mais ô combien mélodique et sûrement pas soporifique !

tombrellaCar sur scène l’osmose qui règne entre lui et ses musiciens se communique bientôt à toute la salle et sous des allures un peu sévères (pour ne pas dire austères) trépigne un garçon à l’humour pince-sans-rire, un tantinet sarcastique, qui a donc tout pour me plaire ! (voir aussi son site internet qui est très sympa et représentatif de ce coté qui n’apparait pas forcément à la simple écoute de ses chansons : www.tommcrae.com et sur lequel j’ai trouvé la Tombrella sus-aperçue).

Convivialité et bonne humeur, entretenues par Brian Wright d’abord (son guitariste qui assurait également la première partie) puis par Tom lui-même pour un  concert à la hauteur du souvenir que j’avais gardé de sa tournée de 2005. Mention particulière en ce qui me concerne au violoncelliste : j’adore le regarder jouer !

Petit aperçu de l’ambiance avec cet extrait de Still love you dans lequel vient se glisser la reprise du titre, judicieusement renommé pour l’occasion, de Rihanna (bon là ça se passait à Londres, il en rajoute encore un peu plus qu’à Paris, et là je suis encore plus désolée qu’à l’habitude de ne pas tout comprendre…)  :

Still Love You/Tombrella en live - Londres 17 mars 2010

Et puis, puisque je suis quand même restée très frustrée en revanche qu’il ne nous l’ait pas fait mardi soir (mais nous avons eu – ouf ! – End of the world news  [Dose me up] sur lequel nous avons pu lui montrer nos – modestes et timides – talents à reprendre le refrain !!!) :

Bloodless – Leeds Cockpit 10 juin 2007

En passant, aller voir le site de Samuel Dietz (vu sur Facebook en allant mettre un commentaire sur la page de Tom McRae) : de superbes photos de ce concert mais également de beaucoup d’autres dont celles de Radiohead vraiment géniales > cliquez ici
-

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

What time is it in the world ?

Lundi, septembre 20th, 2010

What time is it in the worldPas un couac le show est réglé comme une pendule et si c’était à refaire… JE LE REFERAIS !!!

A part U2 qui peut assurer un tel truc dans un endroit pareil avec des moyens pareils ?
Quelle ambiance mes amis !!!
Pourtant pas de vraie surprise quand on a déjà vu leurs concerts précédents, mais bon c’est quand même des moments de pur bonheur dont on ne se lasse pas !
L’extraordinaire pouvoir de Bono et des ses acolytes, arrivant à faire chanter 80000 personnes à l’unisson et en rythme sur I still haven’t found what I’m looking for –  je suis toujours fascinée par ce genre de chose, voir et entendre toute une foule se fédérer en une seule voix dès l’ébauche d’un morceau…
Un petit aperçu de l’ambiance et cette intro de Where the streets have no name qui me met toujours dans tous mes états malgré la multitude d’écoutes de cette chanson depuis 23 ans.

18 septembre 2010 : Where the Streets have no name – Stade de France

Et j’ai une pensée pour Laura-l’Anonyme : invitée par Bono à monter sur scène, à danser avec lui, à prendre la tête de son idole, posée sur ses genoux, dans ses mains… On comprend l’émoi qui transpirait par tous les pores de la fille qui va garder le souvenir gravé dans sa mémoire pour le restant de ses jours ! Et la voix extraordinaire de l’idole en question qui enchaine après cet épisode sur Miss Sarajevo et qui prend un ton qu’on lui connait moins lorsqu’il se met à chanter la partie habituellement interprétée par Pavarotti.
Et puis il y a Walk on dédié à Aung San Suu Kyi et les militants d’Amnesty International qui viennent s’installer sur tout le pourtour de la scène avec leur bougie.

Et puis un dernier petit extrait pour finir avec l’arrivée de Super-Bono dans son habit de lumière, au milieu de ses potes, plus sobres, mais The Edge (inoxydable), Larry Mullen Jr (le « beau gosse » et son habituel rictus dès qu’il est derrière sa batterie) et Adam Clayton (éternellement impassible) contribuent au succès de la soirée quand même !

What time is it in the Stade de France ?

Who’s gonna ride your wild horses ?

Dimanche, septembre 12th, 2010

B-Ch

Assurément, dans l’absolu et si j’avais le choix, Bono serait dans le peloton de tête des cavaliers potentiels… Si j’avais le choix… dans l’absolu…
Ou devrais-je dire aurait été… C’est vrai que les clips ci-dessous, références ultimes du sex-appeal du sus-nommé, réalisés respectivement par Phil Joanou et Anton Corbjin (faiseurs de clips fétiches de U2, entre autres) ont déjà quasiment 20 ans d’âge, vous voyez ce que je veux dire…

Who’s gonna ride… > voir le clip

One > voir le clip

La dernière fois (et d’ailleurs la seule) que j’ai vu U2 sur scène, c’était justement à cette époque, à la sortie d’Achtung Baby, à la Halle Tony Garnier de Lyon, avant qu’ils ne réservent leurs performances scéniques qu’aux stades immenses des 4 coins de la planète, et que je ne me contente de profiter du spectacle que par DVD interposés…

J’ai pourtant cédé à la tentation cette fois : J-6 avant le Stade de France où je devrais rejoindre la foule sur la pelouse surpeuplée. (Je préfère en parler avant : si la déception est trop forte, je n’y ferai même pas allusion, vous saurez donc ce qui signifiera alors un éventuel silence radio sur le sujet !)

♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

HTDAAB

Vendredi, août 20th, 2010

Et là je me demande pourquoi j’ai boudé cet album à sa sortie…
How to dismantle an atomic bomb

Stimulée par l’approche de la grand-messe du 18 septembre prochain au Stade de France (j’avais pourtant promis que je n’irais pas les voir dans un stade…) et le revisionnage du DVD du Live à Chicago, je me suis replongée avec délectation dans l’écoute de How to dismantle an atomic bomb et j’y trouve finalement plusieurs titres que j’aime beaucoup.

De plus, All because of you a le tempo idéal pour soutenir ma démarche d’évaporée-du-matin-à-la-bourre-sur-le-chemin-du-turbin.

All because of you - U2

Et puis, n’en déplaise aux détracteurs de Bono, y’a rien à faire, sa voix restera toujours pour moi une drogue miracle.

Miracle drug - U2
♦♦♦ retour à la page d’accueil ♦♦♦

Yan Ker

Vendredi, août 6th, 2010

Yan Ker 2red

Balade au jardin du Luxembourg en août 2005.
L’Orangerie expose les toiles de deux artistes.
J’ai oublié le nom du premier (pourtant intéressant) mais pas celui du deuxième : YAN KER.

Consonnance bretonne pour un artiste installé à Nancy où il a intégré l’école des Beaux-Arts dans sa jeunesse, avant de mettre la peinture de côté et de se consacrer à sa carrière professionnelle prenante. Un drame personnel, et le voilà qui se remet assidûment à l’oeuvre à 60 ans. La peinture abstraite me laisse plutôt de marbre en général, mais là elle dégage tellement  ! Magnifique.

Son site : yan-ker.com

Et on peut actuellement voir certaines de ses oeuvres 50 rue de Monceau – Paris 8ème chez  Sound and colors

Asphalte – Pierre Rigal

Samedi, juillet 17th, 2010

Asphalte 1

Quand le Hip Hop rencontre la danse contemporaine, l’association est souvent fructueuse : le premier apportant une touche novatrice et dynamique, le second amenant cohérence et réflexion.

Parfois angoissant, parfois poétique, souvent drôle, cet Asphalte nous transporte dans des univers entre mangas et science-fiction, entre zone urbaine et microcosme invertébré.

Tout s’agence et s’imbrique impeccablement : la musique, les lumières et leur mise en scène et bien sûr les 5 danseurs d’une technique et d’une précision irréprochable.