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Archive for juin, 2010

Zénith de Paris – 23 juin 2010

Jeudi, juin 24th, 2010

S’il y a une musique qui adoucit les moeurs, c’est bien celle de
Jack Johnson !!!

JACK JOHNSON - you and your heart

Et je lui serai toujours reconnaissante d’avoir, début juillet 2008, posé ce baume antalgique au parfum de brise océanique sur des douleurs lancinantes qui m’assaillaient alors.
A cette époque ça se passait à Bercy et il faisait bien plus chaud à la sortie, nous laissant l’irrésistible envie de se faire téléporter illico au bord de l’océan à faire griller des chamallows autour du feu de camp sur la plage…

Enfin si l’envie était moins forte hier soir (mes épaules ont réclamé une petite laine en quittant le Zénith), ça fait toujours autant de bien de se laisser porter par le voix du chanteur le plus cool de la planète !

« You’re so sweet to me… »
Pour mon anniversaire, je voudrais un Jack Johnson rien que pour moi, que je rangerais avec mes vieilles peluches préférées et que j’aurais sous la main en cas de besoin urgent de réconfort… ou pour qu’il me prépare des pancakes à la banane les jours de pluie.
« …Ain’t no need to go outside »

To the seaIl vient de sortir To the Sea qui est dédié à son père.
Mais c’est dans ses plus vieux albums que se trouvent mes préférées de cet ex-surfer si bien reconverti.

Good People - Jack Johnson

 

Belle - Jack Johnson

 

Banana Pancakes en live  > cliquez ici

Et voici même la version avec Belle en intro spécial public français
> recliquez ici

Memento Mori

Dimanche, juin 20th, 2010

Souviens-toi que tu vas mourir…

vanites mosaique

 

 

…et qu’une fois dépouillé de sa chair et vidé de toute substance, rien ne distinguera le chef d’entreprise de son ouvrier, le juif de l’arabe, la bigote de sa voisine lesbienne…

 

 

 

 

 

Vanités 4

 

Même Mickey, comme nous le montre Nicolas RUBINSTEIN, ne sera rien de plus qu’un vulgaire rat d’égout.

 

 

 

Précarité et issue fatale de notre vie ainsi étalées sous nos yeux résignés.
Alors Carpe Diem ou désaveu de toute quête de biens ou de plaisirs devenus absurdes eu égard à l’inévitable dénouement ?

Le 28 juin s’achèvera l’exposition « Vanités » présentée au musée Maillol qui nous a, entre autres, permis d’admirer :

 

Saint Jérôme de CARAVAGE

Caravage Saint jerome

 

The uses of enchantement de Jim DINE

Vanités 1

 

The Skull de Francesco CLEMENTE

Vanités 2

 

Vanités de YAN PEI MING

Yan Pei Ming - Vanités

 

Et ce fascinant Autoportrait à la canne de Robert MAPPLETHORPE réalisé un an avant sa mort.

MapplethorpeRobertAutoritratto1988

Nom d’une mite chauve !

Vendredi, juin 18th, 2010

Pourquoi Georgia Nicholson provoque-t-elle une telle détente de mes zygomatiques quand l’ado perso de mézigue qui sévit dans mon sweet home a le don de me mettre les nerfs en pelote ?

Le 1er tome de son journal intime s’appelait « Mon nez, mon chat, l’amour et… moi » :

Georgia Nicholson T1« Georgia Nicolson a 14 ans et trouve que sa vie est un enfer ! Son chat se prend pour un rottweiler, son père voudrait aller vivre en Nouvelle-Zélande, sa mère porte des jupes trop courtes pour son âge, sa meilleure amie ne perd pas une occasion de lui casser le moral et le garçon le plus canon du quartier sort avec une cruche aux oreilles décollées au lieu de comprendre que Georgia est la femme de sa vie. Enfin, s’il n’y avait que ça, elle pourrait survivre, mais il y a cette chose gigantesque au milieu de son visage, son nez ! »   

nous disait l’éditeur.

Au fil des opus écrits par Louise Rennison (illustration des couvertures par Claire Brétécher) , le style est devenu de plus en plus « réservé-aux-initiés », un peu too much, ce qui a d’ailleurs découragé mon ado sus-citée dans la poursuite de sa lecture, mais avec la récente sortie du 10ème et dernier tome, nous devrions  savoir si Georgia va enfin s’arracher les peaux de bananes qu’elle a devant les mirettes et comprendre que ni le Sublimo Scooterino, ni Super-canon ne sont les hommes de sa vie ! Nous on sait depuis le début que c’est Dave la Marrade la grole à son nougat !!!

Don’t you forget about me

Dimanche, juin 13th, 2010

Breakfast Club 1

1985 : Un an avant La folle journée de Ferris Bueller, John Hugues (réalisateur disparu l’été dernier et également scénariste de bien des comédies sympathiques) nous concoctait un p’tit dèj que j’ai depuis vu et revu avec toujours le même plaisir : Breakfast Club, le film d’ado, ou du moins sur les ados, intelligent, drôle et dans l’émotion rationnelle… Au générique tous ces acteurs prometteurs du « Brat Pack », qui n’ont pourtant pas fait une carrière exceptionnelle par la suite mais qui ont marqué les mémoires de leur génération… et avec bien sûr ce tube des Simple Minds sur les premières et les dernières images :

Don't you forget about me - Simple Minds

Les Simple Minds qui – tient donc ! – seront demain soir à Nancy dans le cadre de leur tournée française, de seulement quelques dates, dans des petites salles (à Paris c’est le Bataclan) : étonnant pour un groupe ayant connu un tel succès et sorti autant de tubes (Mark Knopfler vient encore de remplir Bercy…), d’autant plus que Jim Kerr était très performant et charismatique sur scène (j’ai un super souvenir de cette soirée celte au théatre antique de Fourvière où ils partageaient l’affiche avec Alan Stivell et les Coors – belle soirée d’été… il ya 12 ans déjà…).
Simple Minds qui bien avant Coldplay nous faisait le coup de la cloche qui tintinnabule et ça c’est une de mes préférées !

See the lights - Simple Minds

Enfin si quelqu’un a la chance de les voir ces temps-ci, il peut nous faire partager ses impressions en commentaire…

Gillian et David

Dimanche, juin 6th, 2010

Knowing her

MOONLIGHTING : L’EX DE DAVID - Dana Delany et Bruce Willis

A l’heure où Canal+ nous sert la nouvelle saison des toujours étonnantes Desperate Housewives, cette scène où celle qui tient le rôle de Katherine apparaissait le temps d’un épisode pour remettre un peu le bazar dans l’esprit de notre David  préféré :

Gillian et David- Les cigarettes… toi… et la musique… j’ai tout ça dans le sang David !

Tout ça sur fond de This old heart of mine des Isley Brothers.
> voir l’extrait

Bon, dans ses veines coulait également du sang de meurtrière vénale qui la fit se retrouver derrière les barreaux à la fin de l’épisode (Ouf pour Maddie !).

En bonus, la scène finale de l’épisode dans laquelle David Addison nous fait du vrai David Addison :
> voir la scène

par Herecomestheflo