Si vous osez ôter le T, mon premier est le petit nom du plus grand magicien de tous les temps dont on fêtera la naissance pour la 2011ème fois dans une semaine exactement.
Mon deuxième est la deuxième partie du nom de la voiture du plus grand espion à double zéro de la planète.
Mon tout est le chanteur d’un groupe dont je vous rebats les esgourdes (alors que vraisemblablement vous vous en battez l’oeil, voir les …ouilles pour les moins délicats…) mais qui nous a encore démontré mercredi dernier à Bercy que Coldplay détient la suprématie en matière de concert pop, haut en couleur et débordant d’énergie !
à noter que Chris Martin présente d’ailleurs plusieurs points communs avec les références universelles sus-nommées :
- comme le petit gars de Nazareth, il fait de ceux qui viennent l’écouter des illuminés (sauf pour ceux à qui, pas de bol, on a distribué un bracelet à l’entrée du concert qui n’émettra pas le moindre petit clignotement de la soirée… devinez qui faisait partie du lot resté sans loupiote… gggrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !), il transforme les ballons du Prisonnier qui nous effrayaient autrefois en baudruches festives et nous fait toucher le ciel au milieu de myriades de papillons tout en restant les deux pieds sur terre.
- comme James, hormis le fait qu’il soit lui aussi sujet de sa Majesté Babeth la Deuze, il fait craquer toutes les filles sans le faire exprès.
La preuve en image > Hurts like Heaven – Bercy 14 décembre 2011