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Archive for the ‘IN THE MOOD FOR…’ Category

Quand il me prend dans ses bras…

Dimanche, février 28th, 2010

     …je vois la vie en bleu !

la vie en bleu

Je ne vais pas en reschtroumpfer une couche : toutes les créatures de toutes les galaxies ont déjà dit que ce film est grandiose.
Ouais, ça c’est du cinéma !

AVATAR de James Cameron 
 

…je vois la vie en vert !  

grenouille+grenouilleJ’étais bien obligée d’aller le voir ! (Bon prétexte !)
Et c’est peut-être plus risqué, mais ça marche quand même mieux quand on les embrasse que quand on les arrose dans un boc
al !!!
(voir
l’expérience inédite).

LA PRINCESSE ET LA GRENOUILLE des Studios Disney 
 

    …je vois la vie en gris foncé ! 

brothers 2brothers 1Trois acteurs très intéressants de la nouvelle génération dans une histoire sombre, mais bon, Jim Sheridan fait rarement dans le grand comique !

    BROTHERS de Jim Sheridan
 

…je vois la vie en rouge !  

dexter+rita 3

On ne se moque pas ! Certes, léger décalage : Canal+ diffuse actuellement la saison 4 et moi je découvre le personnage par TF1 qui en profite pour passer les premiers épisodes !
Mais je le savais ! J’en étais sûre qu’il allait me plaire ce Dexter : il est la hauteur de ces 4 années d’attente !

DEXTER série saignante et excitante     
 

Scratch my back – Peter Gabriel

Lundi, février 15th, 2010

15 février 2010 : Oh oui Peter ! Gratte moi le dos !!!

Ça fait tellement de bien cette voix familière qui revient nous réconforter !couv SMB
J’appréhendais pourtant ces retrouvailles : no drums, no guitars qu’il nous avait prévenu ! Peter qui  nous sort les violons pour des reprises de morceaux de ses collègues, une couverture d’album suggestive… En prenant de la bouteille, mon ange Gabriel se serait-il égaré dans un désert entre sentimentalisme et marottes libidineuses ?

Que nenni ! Encore un chapitre sans faute  : surprise et plaisir intact !
Du Heroes de David Bowie  à Philadelphia de Neil Young, en passant par The boy in the bubble de Paul Simon, ou le génial My body is a cage d’Arcade Fire…

D’ici peu les « repris » du jour devraient lui gratter le dos en retour avec un album où ils adapteront des titres à lui : « I’ll scratch yours » lui ont-ils promis !

Celle qui fait le plus vibrer mon plexus solaire : Listening wind (des Talking Heads). 

Listening wind - Peter Gabriel

 

Et la plus éloignée de l’original (au moins des VO que je connaissais) : Street spirit de Radiohead (voir article précédent pour ceux qui suivent).

Street spirit (Fade out) - Peter Gabriel

Radiohead – Best of

Samedi, février 13th, 2010

couv radiohead best videosJe me suis engouffrée depuis une semaine dans l’univers torturé des videos de RADIOHEAD (ma meilleure acquisition pendant cette récente période de soldes !), un des rares groupes excitants apparu dans les années 90 avec R.E.M et JAMIROQUAI, que je découvre en fait pour la plupart d’entre elles (à ce propos, où peut-on voir des clips à la télé  – je veux dire autres que les mièvreries salaces RnB ou assimilées – ailleurs que sur les chaines câblées payantes ? Si quelqu’un a la réponse à ce sujet, merci de m’informer).
Réunion de tout ce qui fait accéder un groupe de musiciens à un statut supérieur : le son, l’image, l’univers et la personnalité charismatique du chanteur… Je suis totalement fascinée par Thom Yorke… 

 

Street spirit 1Street spirit 2Street spirit 3Street spirit 4

↑  extraits de « Street spirit (Fade Out) » – Tiens ! Quel hasard le choix ce titre ! Enfin, peut-être pas… A voir dans prochain article à venir  le 15/02…

Street spirit (Fade out) - Radiohead

Scrubs

Lundi, février 1st, 2010

Scrubs 3

Le Dr HOUSE revient mardi dans une nouvelle saison inédite (pour mon plus grand plaisir !).
Mais c’est tous les vendredi soirs que je me marre à l’hôpital avec les saisons de SCRUBS que M6 repasse en boucle depuis quelques années. Bon c’est toujours après minuit, et j’ai parfois du mal à tenir jusqu’à la fin du 4ème épisode… Mais du JD joué par Zach Braff (qui nous avait fait un Garden State rafraîchissant avec Natalie Portman en 2005) au Dr Cox, en passant par le technicien de surface, ça fait du déjanté au m² !

Tour of the Universe – Bercy 19 janv. 2010

Jeudi, janvier 21st, 2010

Dave nous a fait le derviche tourneur, Dave nous a fait le balancement de p’tit cul sexy, Dave a quitté la scène quelques temps afin que Martin profite pleinement de ses quelques minutes de bénédiction du public rien que pour lui le temps de 2 titres sur lesquels il a chanté tout seul (il s’était fait amputer de ses 2 ailes d’ange cette fois, mais on sent malgré tout que la dualité homme/femme le taraude toujours autant), Andy est resté discret derrière ses claviers : du DEPECHE MODE comme on en a l’habitude et le public marche toujours autant ! En particulier mes 2 sympathiques voisines de fosse, anglaises girondes (doux euphémisme), ignominieusement crêpées de l’appareil capillaire, ladite choucroute ornée pour la brune du duo d’un énorme noeud en cuir clouté, assurément fans de la première heure ! Pas comme moi pour le coup, qui à l’époque de leurs premiers succès me sentait plus interpellée par les sons de guitare de The Edge et la voix et les mots de Bono, même si, cependant,  j’enjoyais le silence et priais mon own personal Jesus avec conviction pendant que la Policy of Truth m’exhortait à concéder que je just can’t en getter enough sur le Dance Floor…
dm_one night in ParisC’est à partir de la décennie suivante que je me suis mise à les écouter en boucle avec les albums Ultra et Exciter (mes 2 préférés à l’heure actuelle) et c’est le DVD sorti dans la foulée de l’Exciter Tour 2001 qui m’a conduite à 2 reprises à Bercy en 2006 et donc hier… Sans pourtant retrouver ce petit truc en plus que j’avais adoré dans le DVD en question (je ne sais pas exactement quoi… peut-être les 2 choristes qui apportaient une chaleur supplémentaire…). Mais, je ne bouderai pas mon plaisir : j’ai passé une super soirée hier, Dave Gahan assure toujours le show pendant 2 heures et c’est toujours impressionnant de voir un public à Bercy unanimement campé sur ses 2 pieds, les bras en l’air scandant « Reach out and touch faith ».

Let go of complicated feelings
Then there’s no price to pay…
We’re only here
Sharing our free love
Let’s make it clear
That this is free love
No hidden catch
No strings attached
Just free love…

Freelove - Depeche Mode

(Ça c’est juste pour combler une petite frustration de titre manquant dans leur playlist d’hier…)

Que de neige !

Lundi, décembre 21st, 2009

couv cd up to nowHere comes the Snow !!! Mais prévoyante parmi les voyantes, prémunie parmi les trop munis, je m’étais octroyée depuis plus d’une semaine l’aide d’une patrouille indéfectible pour sortir des dédales immaculés, pour réchauffer mes organes frigorifiés : dérobé avant la date officielle des cadeaux dans la hotte du Père Noël, Gary Lightbody et ses potes de SNOW PATROL me régalent depuis d’un Best of de leurs titres depuis leurs débuts, fin des années 90 (du temps où ils chantaient pour les ours polaires), jusqu’à l’inédit Just say yes. Aucune objectivité dans mes propos, sachant que j’ai passé le cap de l’impartialité à leur sujet depuis l’exaltante soirée qu’ils m’ont fait passer à l’Elysée-Montmartre en juin dernier, mais pour moi la relève irlandaise est bien assurée, Bono et sa bande peuvent partir en retraite l’esprit tranquille !

Et sur le DVD (ben oui, j’ai acheté la version collector) : le film d’animation conçu pour illustrer The Lightning Strike, 16 minutes de bonheur pour les yeux et les oreilles, la sophistication de la 3D pour créer des origamis virtuels en toute « simplicité »; le Big Bang en papiers pliés; je pense aux dessins de Folon, la mer me rappelle l’élément inquiétant du Solaris de Stanislas Lem

Lightning strike 2

Et autre bonne surprise, cette reprise étonnante que j’adore :

Crazy in Love - Snow Patrol

Nota :  Rien à voir, mais ce même jour, dans la même hotte du même Père Noël, j’ai également trouvé une chose sympathique : l’intégrale de Controlling Crowds (Part I à IV) d’ARCHIVE, compilée sur 2 CD pour le prix de la part IV seule ! Et là non plus, je ne regrette pas mon investissement !

Encore des miroirs… et des faunes… et des miles… et des astéroïdes

Lundi, décembre 14th, 2009

Wayne-McGregor-Dyad-1909-001

Des miroirs sur la scène qui captivent le regard, à tel point qu’on en oublierait presque de regarder les danseurs qui évoluent à leur périphérie autrement que par leurs reflets. Mais l’énergie qu’ils dégagent recentre rapidement notre attention sur eux et l’on se laisse porter par la fluidité de leurs mouvements et la musique d’Ólafur Arnalds, musicien islandais talentueux d’une vingtaine d’année, dont les compositions collent si bien à cette chorégraphie de Wayne McGregor : c’est Dyad 1909, la première des quatre chorégraphies en hommage aux Ballets Russes – In the Spirit of Diaghilev.
Faun 1Quelques minutes après, c’est avec Faun, la reprise de Prélude à l’après-midi d’un faune par Sidi Larbi Cherkaoui, que notre instinct animal se réveille au coeur d’une forêt à la si belle lumière : la musique de Debussy est magnifique bien sûre, et elle prend par moments quelques accents plus ensoleillés qui ne font qu’accentuer l’émotion. Et si l’érotisme de la chorégraphie n’a plus l’impact scandaleux qu’il avait en 1912, ça reste une beau duo interprèté par 2 danseurs admirables !

 

affiche away-we-goAu cinéma, c’est avec les 2 protagonistes, futurs parents en proie au doute, de Away we go que j’ai traversé – avec un plaisir certain – les États-Unis et que j’ai même fait un saut de puce jusqu’à Montréal. Sam Mendès, après ses Noces rebelles si noires de l’année dernière, nous donne là l’occasion de ressortir de la salle envahis d’un optimisme maggie - away we go(relatif) réconfortant. Ça fait du bien ! (Et la surprise de retrouver Maggie Gyllenhaal dans un rôle de déjantée !).

 

asteroids-galaxy-tour2Et jeudi soir, il y avait un petit amas d’astéroïdes du coté de la Villette : tandis que tout le monde est parti à Copenhague, une poignée de danois – The Asteroid Galaxy Tour - se trouvaient au Trabendo pour nous offrir un petit concert qui, s’il n’était pas aussi Fun et Folie que je l’imaginais, avait au moins le mérite d’être Fun et Groovy. Très sympa en tout cas. Et puis j’ai une prédilection pour les chanteuses allumées venues du froid (comme Olivia de The DO, ou Emiliana Torrini et bien sûr Bjork !), je ne sais pas pourquoi… Peut-être des gènes de Vikings qui trainent… Allez savoir…

Bad Fever - The Asteroids Galaxy Tour

Miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle

Lundi, novembre 30th, 2009

Une nouvelle rubrique pour célébrer les plus belles. Les belles d’un jour ou les belles de toujours. Des belles d’hier aux belles à venir. Les belles et rebelles ou les belles douces comme le miel. Celles qui forcent le respect, celles qui attisent le désir. Les belles d’os et de chair et les belles en mots et en vers…

 miroir o miroir 
      


   <    Pour capter leur reflet

 

affiche 2

 

 

 

 Et puisqu’on parle de miroir, allez traverser si ça n’est déjà fait celui de L’imaginarium du Dr Parnassus : le nouveau film de Terry Gilliam, autrement plus excitant et plus poétique que les récents Frères Grimm du même Gilliam qui m’avaient laissée sur ma faim…

 

     _

En passant par la Bourgogne avec mes papilles

Mercredi, novembre 25th, 2009
  Couv recto 001
 
C’est mes papilles qu’on titille
C’est mes cinq sens qu’on émoustille :
Ce guide de derrière les brindilles,
Ouvre le vite, déjà il frétille
Sous le beau sapin qui pétille
Entouré de coupes qui scintillent…

… Ou l’inverse peut-être bien !
Faut dire que j’en suis à la page 128, ça fait donc déjà quelques bons crus que je déguste… virtuellement… malheureusement…
Je suis toujours fascinée – moi qui n’ai ni l’odorat, ni le palais habile à relever la subtilité des nuances aromatiques – par les connaisseurs passionnés de vins (ou de cacao, ou de thé, ou de whiskies…) qui discernent «des arômes minéraux bien polis auxquels se mêlent des notes d’amandes et de brioche», et arrivent à nous faire partager leur enthousiasme à la seule écoute de leurs mots imprégnés des saveurs décelées.
Mais là ne s’arrête pas le plaisir de se plonger dans cet ouvrage, car la réunion de ces 3 compères autour d’une bonne bouteille nous entraine à chaque fois vers une gourmandise au coefficient espace-temps impondérable !
C’est ainsi que vous pourrez vous retrouver les mains enduites d’huile d’argan, à masser une cucurbitacée callipyge au détour d’une escale à St Véran, ou que quelques crépitements de châtaignes sur le feu viendront vous susurrer à l’oreille un Haïku d’automne au pays du soleil vinifiant de Meursault.

Un joli cadeau au pied du sapin vous disais-je !

Coups de coeur en BourgogneMartial Jacquey, Hubert Anceau et Marielys Lorthios

  Couv verso 002

dans toutes les bonnes librairies comme on dit
ou sur
www.terre-en-vues.fr
Coeurs  003

 

 

 

Quant à moi, pour tous ces merveilleux repas qu’il nous offre à chaque fois c’est :

 

Alain Souchon est chanteur

Mardi, novembre 10th, 2009

Alain Souchon est chanteur

J’étais restée un peu à l’écart de ses derniers albums et de ses derniers spectacles, malgré ma tendresse particulière envers le repère inoxydable de mon adolescence. Comment dire… c’est une mélancolie banale, vodka orange et Gardénal.
Et puis l’an dernier j’ai vu la belle émission que France 2 lui avait consacré et là j’ai retrouvé tout ce que j’aimais; le baromètre de mes états d’âme; le test infaillible pour faire douter l’horloge interne.
Trente ans que je l’ai à l’oeil : je m’en suis donc allée l’autre soir ramer de concert avec lui, haranguer les foules sentimentales, percevoir tant d’Angélus – Ding -  qui résonnent, relire Somerset Maugham, entrevoir Jane et Serge sur le Pont des Arts, se débarrasser oh ! des regrets, des regrets, des regrets, des regrets en me baladant une paille dans ma limonade, soulever le couvercle à Baudelaire qui nous aplatit, nous plaque par terre… Et si tout est moyen, si la vie est un film de rien, ce passage là était vraiment bien…

En revanche, il ne nous a pas emmené dans la jolie maison de Port Bail alors :

Port Bail - Alain Souchon

Voir aussi dans « Ils le disent mieux que moi » : cliquez ici

Prince, charmant par hasard…

Dimanche, novembre 8th, 2009

baiser prince

Les contes de crimes

Dimanche, novembre 8th, 2009

couv contes de crimes

Avec une couverture et un titre pareils, je ne pouvais pas passer à coté !
Un style délicieusement suranné qui tranche – ça c’est net - avec le contenu gore des histoires narrées !
Quand Peter Pan se prend pour Jack l’éventreur et que le petit Chaperon Rouge joue aux Lolita sanguinaires…
Dommage, l’intérêt des intrigues est très variable d’une histoire à l’autre.

Extrait de saison :

« L’automne est une saison qui sied à mon humeur, j’y puise dans le déclin des jours une émanation si subtile qu’il me semble communier avec la mystique des choses. C’est pour moi le temps des perceptions intimes quand l’esprit s’aiguise au jade de la lune. L’air autour diffuse un rêve continu et palpable que l’on peut revêtir, visiter, habiter… que l’on peut aussi subir. Et je le subissais, cet octobre de Blanche-Neige, sur le chemin de Londres à la fois enfumé de saveurs vieillissantes et enivré de cidre, de liqueurs de pomme, d’une pomme d’amour. »  

Les têtes à claques dans la mare

Lundi, octobre 12th, 2009

grenouilles tac

 

Hey mon ami ! Tu aimes regarder les grenouilles faire des bulles dans la mare ?!?!? Alors voilà Virginie et Georges :

voir la video

L’aquaphile – Pierre Desproges (Extrait)

Samedi, octobre 10th, 2009

J’étais littéralement fou de cette femme…

Pour elle, aux soirs d’usure casanière où la routine alourdit les élans familiers en érodant à coeur les envies conjugales, je me voyais avec effroi quittant la mère de mes enfants, mes enfants eux-mêmes, mon chat primordial, et même la cave voûtée humide et pâle qui sent le vieux bois, le liège et le sarment brisé, ma cave indispensable et secrète où je parle à mon vin quand ma tête est malade, et qu’on n’éclaire qu’à la bougie, pour le respect frileux des traditions perdues et de la vie qui court dans les mille flacons aux noms magiques de châteaux occitans et de maisons burgondes…

En sa présence, il n’était pas rare que je gaudriolasse ainsi sans finesse, dans l’espoir flou d’abriter sous mon nez rouge l’émoi profond d’être avec elle. Elle avait souvent la bonté d’en rire, exhibant soudain ses clinquantes canines dans un éclair blanc suraigu qui me mordait le coeur. J’en étais fou, vous dis-je.

Ce 16 octobre donc, je l’emmenai déjeuner dans l’antre bordelais d’un truculent saucier qui ne sert que six tables, au fond d’une impasse endormie du XVème où j’ai mes habitudes. Je nous revois, dégustant de moelleux bolets noirs en célébrant l’automne, romantiques et graves, d’une gravité d’amants crépusculaires…

J’étais au bord de dire des choses à l’eau de rose, quand le sommelier est arrivé. J’avais commandé un Figeac 71, mon saint-émilion préféré. Introuvable. Sublime. Rouge et doré comme peu de couchers de soleil. Profond comme un la mineur de contrebasse. Éclatant en orgasme au soleil. Plus long en bouche qu’un final de Verdi. Un vin si grand que Dieu existe à sa seule vue.

Elle a mis de l’eau dedans. Je ne l’ai plus jamais aimée.

 Pierre Desproges - Chroniques de la haine ordinaire 

Les garçons et les filles par Florence Foresti

Vendredi, octobre 9th, 2009

Ce sont mes filles qui m’ont fait découvrir Florence Foresti avec l’Avion Barbie (MDR !).

Ces 2 extraits là collent plutôt bien avec ce blog alors à voir ou à revoir :

Les garçons                              ou                          Les filles