Troisième épisode de la série « C’est avec les vieux singes qu’on fait la meilleure soupe »… session 2021/2022
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En attendant sa venue, pendant plus de 2 ans de reports successifs, je fredonnai à la moindre occasion une de ses chansons, puisqu’il y a toujours des mots de Souchon qui seront appropriés dans moultes circonstances.
J’ai particulièrement chanté Belle-Île en mer (quoi ? C’est Voulzy… oui… mais qui a écrit les paroles !), le marin et le Bagad de Lann Bihoué lors de mon rail-trip de Paimpol à Biarritz en septembre 2020.
En septembre dernier, j’ai chanté les âmes fifties sur la plage du Crotoy et j’ai chanté un baiser sur la plage de Malo Bray-Dunes lors de mon périple sur ces magnifiques plages du nord (j’ai d’ailleurs rechanté le Bagad de Lann Bihoué en rentrant de ce voyage lors de mon étape à Bruxelles quand mes pérégrinations dans les rues de la ville m’ont amenée par hasard devant la maison Béjart… comprenne qui pourra…).
L’émotion était donc d’autant plus vive ce 9 avril au Zénith de Dijon, où pendant 2 heures, avec le Papoum à mes côtés, c’était presque nous, c’était presqu’hier, quand nous sautions en l’air comme des cabris dans la fosse du palais des sports, sous le regard complaisant de mon père, avec presque le même Souchon sur la scène.
> la belle version du Marin avec ses fils
> Presque – toujours avec ses fils – au Zénith de Lille…
et pour mémoire ici, mon petit billet posté lors de sa venue en 2009.. déjà…