photo © Stéphane Rak
Simple Minds en live, c’était jusqu’alors deux souvenirs complètement à l’opposé dans ma mémoire : un concert le 1er juillet 1995 dans cette ancienne affreuse salle du palais des expositions de Dijon – où il n’y a heureusement plus de concerts depuis belle lurette (merci le Zénith !) – avec un son inaudible, et cette chaude et extraordinaire nuit celtique du 21 juillet 1998 dans le cadre des Nuits de Fourvière à Lyon qui avait vu se succéder sur scène le breton Alan Stivell et sa harpe ensorcelante, les irlandais de The Coors et leurs harmonies envoutantes et les écossais de Simple Minds et leur énergie communicative emmenés par un Jim Kerr au top de sa forme.
C’est donc avec une légère appréhension que je me suis dirigée vers le Zénith ce 15 avril dernier, 26 ans après notre dernière rencontre, mais malgré tout confiante après avoir passé en boucle leur dernier album, Direction of the heart sorti en 2022, bien dans l’esprit de ce que j’aime chez eux.
Et si la première partie du concert m’a laissée encore dubitative au niveau de la qualité du son, je me suis laissée emporter par la suite et toute la salle était au diapason pour reprendre les gimmicks et les refrains de leurs anciens tubes, ravivant des souvenirs de plus de 40 ans et nous donnant envie de revisionner Breakfast club !!!
> un montage sympa des bons moments de la soirée
