jeudi, novembre 21, 2024 10:12

Régression en 4 actes – Acte I

Il y a quelque chose de joli au royaume de Danemark…


La petite fille aux allumettes, La petite sirène, Le vilain petit canard, La princesse au petit pois, Le rossignol et l’empereur de Chine et… La Reine des neiges ! Récemment adaptée par Disney au cinéma, c’est avec un grand plaisir que je suis allée en famille voir ce conte porté sur grand écran avec les places gagnées sur la page Facebook de Visitnorway.com (puisque ce sont les paysages norvégiens qui ont inspiré les décors des Studios Disney).

Oui, tous ces contes d’Andersen, si jolis…  mais si tristes le plus souvent ! Du moins, c’est le premier sentiment qui me vient à l’esprit quand j’entends parler de l’auteur danois. Et invariablement, je pense au Livre des bêtes enchantées, recueil aux magnifiques (mais impressionnantes pour une petite fille de 3 ans) illustrations d’Adrienne Ségur que mes parents m’avaient offert alors que je ne savais pas encore lire. Ce livre, qui bien sûr se trouvait dans ce maudit carton de déménagement perdu – voir tout en carton – regroupait des contes de différents auteurs, dont trois contes d’Andersen, et quand ce cher William nous assurait que jamais aventure ne fut plus douloureuse que celle de Juliette et de son Roméo, on voit bien qu’il était né trop tôt pour que sa mère puisse lui lire Les cygnes sauvages ou La petite Poucette dans sa petite enfance !

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♥♥♥ message personnel ♥♥♥
oui maman, je sais, tu trouvais que je ressemblais à Poucette et que c’était de belles histoires que tu aimais me lire le soir, même si tu avais fini par abandonner, désespérée de devoir affronter mes larmes à chaque lecture, mais bon, il faut quand même reconnaître que ces contes prédisposaient à la mélancolie !!!

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