samedi, novembre 23, 2024 08:19

Quand la bise fut venue…

La Vapeur nous fourmi fournit une, voire plusieurs bonnes occasions de nous réchauffer les oreilles :

En rouvrant ses portes après de longs mois de travaux, notre bien-aimée salle dijonnaise nous confirme qu’il faut passer du temps dans son cocon pour devenir un beau papillon de nuit, et c’est Nada Surf qui a assuré le spectacle pour cette soirée d’inauguration du 7 février dernier.
Juste 10 ans après leur venue dans cette même salle, les new-yorkais nous ont joué l’intégralité de leur album Let go sorti il y a 15 ans et ce fut tout aussi plaisant de les entendre à nouveau avec ces mélodies pop qui nous aident à flotter au-dessus de la terre ferme.

A noter : en parallèle de ce 15ème anniversaire, un album de reprise, Standing at the Gates: The Songs of Nada Surf’s Let Go dont les bénéfices iront à The ACLU (The American Civil Liberties Union) and The Pablove Foundation, vient tout juste de sortir.

3 morceaux en bonus enregistrés lors de leur passage :
> High speed soul
> Teenage dreams

> Blizzard of 77

Le lendemain j’y étais à nouveau puisque dans le cadre du festival GéNéRiQ la Vapeur accueillait Tricky (bon là je ne pourrai pas montrer d’extrait compte-tenu de l’obscurité qui règnait sur la scène… Enfin ça c’est Tricky… super prestation… mais on voit rien ! Oui c’est un peu frustrant et pénible j’en conviens…) et en première partie j’ai découvert Concrete Knives : très bonne surprise !

Et quand la bise fut venue, La Cigale ne s’en trouva pas pour autant dépourvue et nous offrit même un spectacle de premier choix en accueillant Rickie Lee Jones ce 3 mars !!!

Et si sa voix n’a plus toutes les nuances d’autrefois, l’émotion est toujours là, d’autant plus qu’elle nous joue un maximum de titres de ses 2 premiers albums (2 pépites qui ont tourné un sacré nombre de fois sur mes diverses platines) et lorsqu’elle a entamé Living it up, enchainé avec We belong together… que dire… surtout ne rien dire et juste laisser la sensation d’accomplissement se frayer un chemin jusqu’aux derniers recoins de nos terminaisons nerveuses.

> The last chance Texaco
> Living it up
> We belong together

Et puis parce-que c’est comme ça qu’on aime se la remémorer aussi :
> Chuck E.’s in love – 1979

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